Musc’art Frontignan 7 avril 2022
Musc’art du 7 avril organisé par Angela Mamier avec la poétesse et écrivaine franco-suisse Catherine Gaillard-Sarron.
La face cachée du monde
Oui, je veux rendre hommage à toutes mes pareilles
Ces êtres dont les hommes ont amputé les ailes
Se réservant le ciel en les clouant au sol
Les empêchant, cruels, de prendre leur envol
“Voir le jour” théâtre poétique et musical
Un théâtre poétique et musical qui inclut écrits du 12ème au 21ème siècle, chants et danse sur des musiques originales interprétées en live.
Il n’y a que l’amour
Il n’y a que l’Amour, Du début à la fin, L’Amour qui grâce à nous, Triomphera de tout.
“La ligne du temps” – Rituels et deuils
Aujourd’hui, j’ai à cœur de vous partager un poème d’une écrivaine et poétesse franco-suisse, Catherine Gaillard-Sarron, extrait de son recueil “La ligne du temps”. Je lis très souvent de ses magnifiques poèmes lors de funérailles car ils nous touchent au plus profond de notre cœur…
Béthune “Plan 3000 arbres” “Je voudrais être un arbre”
Pour cet événement, l’institutrice de l’école Victor-Hugo a fait lire à ses élèves un poème de la franco-suisse Catherine Gaillard-Sarron vantant les mérites du chêne : « Je voudrais être un arbre ».
J’ai rêvé…
J’ai rêvé cette terre comme un nouvel Eden, Débarrassé des guerres, des misères et des haines,
La célébration de la fête
Faire la fête, réunir sa famille et ses amis, c’est donc participer à une fête plus grande : celle de la vie ! car célébrer l’amour c’est célébrer la vie même !
Le sapin de Noël
Les plus belles étoiles sont celles qui brillent dans les yeux des petits enfants la nuit de Noël.
Vernissage Le refuge essentiel – 29 & 30 oct. 2021
Dédicaces et verre de l’amitié, vendredi et samedi 29 et 30 octobre 2021 de 14h à 19h au domicile de l’auteure.
Parution Le refuge essentiel
La vie n’est que du sable. Tout se défait, tout disparaît, ne reste que l’amour : celui qu’on a donné, celui qu’on a reçu, celui qui nous anime.
Poèmes d’automne
L’automne installe ses quartiers
Sur la campagne qui s’oxyde,
Les rayons d’un soleil timide
Réchauffant les coteaux cuivrés.
La haine ou la bête qui est en nous…
Une bête invisible autant qu’imprévisible qui se nourrit du mal que s’infligent les hommes. Malheur à l’imprudent qui deviendra sa proie, assailli dans l’instant par ses milliers de griffes…
BabyloNet
Chantage et calomnie, lynchage médiatique,
Fake news et propagande, tout est bon pour détruire,
Massacrer son semblable, le pousser au suicide,
En toute impunité, d’un seul clic anonyme.
Poèmes d’été
Tout n’est que vibrations en ce jour estival où criquets et grillons, ardents mènent le bal.
Je voudrais être la première
Je voudrais grâce à mon amour
Eclairer chacun de tes jours
Et te redonner la chaleur
Que longtemps tu mis dans mon cœur
Je voudrais pareille au soleil
Te sortir de ton grand sommeil
Et t’apporter cette énergie
Qui ferait si belle ta vie
Catherine Gaillard-Sarron lue par Anne Davaud
“Travailler sur les écrits de Catherine Gaillard-Sarron est une expérience merveilleuse, les textes étant variés, vibrants d’humanité et procurant un réel plaisir de lecture et d’interprétation.” Anne Davaud
Interview 110e Musc’art – 2 mai 2021
Quand la Suisse vient à la rencontre d’un 110è Musc’art d’exception, avec Catherine Gaillard-Sarron.
Plages de mai
Ils ne sont pas pressés les vacanciers de mai Pour eux les jeux sont faits l’avenir dévoilé Ils laissent derrière eux les joies de la jeunesse…
Le Printemps des Poètes
Et leur cœur se serra en songeant à la Terre/Ce monde regretté où sévissait la guerre/Cette planète bleue qu’ils avaient désertée…
Poèmes printaniers
La nature bourdonne, la nature bourgeonne, tout entière s’éveille après son grand sommeil, effaçant sous les feuilles la grisaille et le deuil
Ode à la morille
Mythique morchella à la tête conique qui se fond mimétique dans les bois du Jura…
L’histoire de Kim Lalesh
” Véritablement, les hommes n’avaient que cinq sens quand les femmes en avaient six!”
Concours « Témoignages confinés »
Tout semble comme avant,
Mais tout est différent,
S’est enfuie l’insouciance
Du cœur des relations,
Émoussée l’indulgence
Devant les injonctions ;