Livre d’or.

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Merci pour vos témoignages, ils me rassurent quand je doute… 

Catherine

 

Nous sous-estimons souvent le pouvoir d’un contact, d’un sourire, d’un mot gentil, d’une oreille attentive, d’un compliment sincère, ou d’une moindre attention ; ils ont tous le pouvoir de changer une vie.  

Leo Buscaglia

 

Commentaires 2022 - 2023

Nicole Monzani – 3 août 2023

La Sirène de Montsalvens

Excellent polar par son écriture fluide. Analyse pertinente sur les effets et les conséquences de sentiments tels que la passion amoureuse, l’orgueil, l’avidité de pouvoir et l’usage de ce pouvoir, la nuisance des calomnies infondées… le tout réuni dans un savoureux cocktail qui maintient le lecture en haleine jusqu’à l’issue finale.

Jean-Marie Leclercq – 23 avril 2023

La Sirène de Montsalvens

Le nouveau roman de Catherine Gaillard-Sarron nous entraîne dans les profondeurs d’un sujet sensible, une ode à l’exaltation, à la différence et à la féminité, contrebalancée par une mise en scène d’intrigue qui maintient le lecteur en ” haleine “.

En résulte un ” biopic” familial magnifique, romanesque et tragique. La narration d’une vie interrompue, la manière de donner sens à cette mort tresse étroitement trois fils : le conte, l’exégèse, et la confession dans la condition des hommes et des femmes… et au bout du chemin, parfois la séparation dans cette justice restaurative explorant avec fracas l’intimité d’un couple et d’un amant…

Florie – 17 avril 2023

La Sirène de Montsalvens

Coucou tata!  Un p’tit mot pour te dire que j’ai eu une superbe lecture au bord de la mer pdt les vacances. Ton livre est génial, je l’ai lu en 2 jours à cause du p’tit, sinon dans la journée il était plié. Un suspense et une écriture qui donnent envie de ne pas s’arrêter.

Vraiment bravo et merci. Pleins de bisous 😘

Joëlle – 13 avril 2023

La Sirène de Montsalvens

Coucou! Ici le temps est magnifique et on profite un max en famille. Ton livre passe de mains en mains, c’est vraiment top! J’ai commencé ce matin et presque fini… on n’a pas envie de sortir de l’histoire !!

Vivement que j’aille me coucher pour le finir😁! Je te ferai un petit debrief à mon retour.

Françoise Leu – 26 novembre 2022

La Sirène de Montsalvens

Chère Catherine,
J’ai lu ce roman avec un très grand plaisir ; je suis toujours impressionnée par ton talent à dérouler un récit et à le rendre captivant du début à la fin.
J’ai apprécié le fait que tu n’as pas suivi un schéma habituel pour une enquête policière ; tu as adopté une démarche originale et l’accent que tu as mis sur la description des lieux, des ambiances, des personnages et de leur psychologie, m’a fait penser aux romans de Simenon. 
Je t’avouerai que l’histoire de la lettre dans l’arbre ne m’a pas paru très plausible sur le coup, mais après réflexion, je m’aperçois qu’elle a une signification symbolique : l’impossibilité de communiquer, les «actes manqués»…. 
Et malgré la mauvaiseté du monde (j’étais étonnée de trouver ce mot dans un texte contemporain, mais c’est un choix très pertinent !), tu arrives à livrer un message d’espoir et d’amour.
C’est remarquable et je t’adresse mes sincères félicitations.

 

Graziella Parenti – 13 novembre 2022

La Sirène de Montsalvens

Ma “Fille” Sophie et moi avons été sous le charme de l’intrigue et de la prose de “La sirène de de Montsalvens”. Nous avons constaté que malgré le désarroi semé par la haine, l’amour en sort toujours vainqueur. Félicitations.

Daniel Fattore – 7 novembre 2022

La Sirène de Montsalvens

“La romancière excelle à démontrer comment toute la population d’un village peut harceler jusqu’à l’extrême Elias Baud, un homme simple et aimant. Déjà marqué par le départ de son épouse, il va connaître une dérive allant jusqu’à l’irréparable, et c’est cette dérive que l’auteure montre avant tout: alcool, repli sur soi, stratégies pour éviter les autres villageois, perte d’emploi (il est charpentier) en raison des soupçons qui pèsent sur lui. Ainsi la romancière met-elle à nu la noirceur d’âmes à la merci des rumeurs, une noirceur dont le prêtre, en fin de roman, fera la synthèse. Elias Baud a donc commis l’irréparable; et si le coupable, c’était en définitive le village dans son ensemble?

Avec “La Sirène de Montsalvens”, Catherine Gaillard-Sarron signe un roman policier atypique aux ambiances d’automne, entre soleil et pluie, entre amour et mort. Celles-ci sont encore soutenues par une écriture fluide et sobre qui va à l’essentiel pour dire le drame et la rédemption.”

Lire le billet

Annick Fellmann – 21 septembre 2022

La Décision

Il m’a fallu du temps, car je craignais de me replonger dans ma propre histoire… et c’est ma plus jeune fille Alice, qui souhaitait comprendre ce par quoi j’étais passée, qui a lu “La décision” et qui m’a donné l’élan pour cette lecture.

Je l’ai quasiment lu d’une traite, j’ai été subjuguée par la justesse et le réalisme de la retranscription écrite des sentiments générés par une telle situation : comme lors de notre entretien à l’hôpital, j’avais l’impression que vous aviez le décodeur pour lire dans ma tête ! BRAVO. Je vous souhaite un plein succès pour votre nouvel ouvrage, à bientôt.

 

Cyrielle Godart – 6 septembre 2022

Frère d’Âme

Excusez-moi, j’ai oublié de vous envoyer le mail pour vous confirmer la livraison. Les poèmes sont très beaux et d’une justesse incroyable. Étant passée par là aussi ils m’ont énormément touchée. Merci beaucoup.  Cordialement.

 

Joël Belleville – 25 août 2022

Bain de minuit

Madame, Un ami français établi en suisse à Genève, m’a fait découvrir “Bain de minuit”. C’est un bel ensemble de nouvelles fantastiques, bien écrit, avec aisance, avec imagination. Vraiment votre écriture et fort élégante. Préparez-vous pour cette année ou l’année suivante, quelque nouvelles publication : roman, nouvelles, poèmes? Belle fin d’été dans votre beau canton de Vaud.

 

 

Commentaires 2021

Daniel Fattore – le 19 novembre 2021

Le refuge essentiel

Chaque partie du recueil “Le refuge essentiel” évoque l’un des aspects finement choisis, vécus, d’une vie amoureuse présentée comme évidemment épanouie. L’érotisme en fait partie, et ce sera le jeu de “Epa(nui)ssement”, marqué par quelques trouvailles verbales qui, créatives, reflètent la créativité dont l’amour physique peut être porteur. Il y a une part de doute dans “Attention fragile”, qui évoque les frottements inhérents à la vie à deux. Quant à l’épreuve, elle est l’apanage de “Tremblement de cœur”, souvenir du cancer de l’homme. Le soutien est difficile, l’hospitalisation impose la distance: tout d’un coup, tout est remis en question.

Et poème après poème, l’auteure décline en un recueil plus que généreux un amour à la fois constant et sans cesse recommencé. S’il y a un jeu sur les focalisations, si certains poèmes disent “il” plutôt que “tu” parce que celle qui raconte prend le temps de se retirer pour mieux savourer, et si l’auteure ose parfois une tonalité ludique, l’ensemble laisse surtout au lecteur l’impression réussie que l’auteure évoque un amour considéré comme un sentiment de toujours, hors du temps, lien immarcescible entre l’humble humanité et quelque chose qui la dépasse, cosmique ou divin.

Voir l’entier du billet

 

Chantal-Anne Jacot – le 8 novembre 2021

Le refuge essentiel

Chère Catherine,

« Epa(nuit)ssement », « tremblement de cœur »… « Mon bonheur c’est toi » et bien d’autres de vos poésies sont des « effervescences » qui suscitent des émotions. Tous les jours j’en lis quelques-unes et je me délecte. Merci de ce partage.

Belle semaine et amicales pensées.

Chantal-Anne

 

Lectrice du jury Librinova – le 3 septembre 2021

L’écrivain aux mains rouges

J’aime beaucoup la couverture, et le résumé également.

J’ai beaucoup aimé le côté psychologique et être dans la tête du personnage principale. Je suis un peu déçue que l’écrivain aux mains rouges n’est pas été plus long et plus détaillé car j’ai beaucoup accroché. Merci

Publié le : 03/09/2021

 

Anne Davaud –  le 21 juillet 2021

Allons voir si la rose…

Bonjour Catherine,

J’ai (enfin) eu le plaisir de lire votre livre, et j’ai bien aimé la manière dont vous utilisez l’humour noir et faites passer des messages très intéressants et importants. Bien sûr, je ne m’attendais pas à la fin terrible des deux affreux, ce qui m’a plu, et en même temps, on ne les rejette pas complètement. Rien n’est blanc ou noir (tout de même, le massacre des rosiers, quelle scène !).
J’ai vraiment passé un moment agréable et je dois avouer que lorsque je vois des dames plus que rondes je repense à votre livre… hem hem…
Merci encore pour ce beau cadeau !

Anne

 

Lectrice du jury Librinova – le 2 juillet 2021

L’écrivain aux mains rouges

Fine mouche et excellente conteuse, l’auteur nous régale avec ces nouvelles. Avec pertinence, elle décrit les excès de la notoriété du scandale , tout particulièrement dans l’écrivain aux mains rouges. Dans la seconde nouvelle, c’est le silence, l’absence d’échanges qui empoisonnent. puis l’inquiétude, l’angoisse qui tue. Le secret du vie, révélé au dernier instant, peut-il annihiler une vie d’amour conjugal et filial ? L’auteur nous décrit aussi une phobie et ses ravages. Et pour finir, avec humour, quand “Les chiffres et les lettres” s’affrontent à la passion de l’opéra !

Publié le : 02/07/2021

 

Françoise Leu –  le 3 juin 2021

Chère Catherine,

Pour la fête des Mères, j’ai envoyé à quelques personnes ton poème « Transe-génération », qui a été très bien reçu. On l’a trouvé très beau et touchant.

En ce qui concerne tes livres que je viens de terminer, je te fais part avec grand plaisir de mes impressions.

Bain de minuit : J’ai toujours apprécié le fantastique et la science-fiction, et je trouve que tu maîtrises bien ce genre. Dans ce recueil, c’est l’histoire que j’ai préférée, à cause de l’ambiance, du ressort dramatique, et du mystère qui demeure. Sans oublier la touche d’érotisme que tu sais si bien décrire !

Le frigo : Là aussi, c’est très réussi sur le plan de l’ambiance, du basculement de notre quotidien « techno-numérique » dans le fantastique et l’horreur. Avec des notes d’humour et d’érotisme pour faire bonne mesure. Bravo !

Les Alzheimeriades : Une histoire intéressante qui m’a rappelé un film que j’avais vu il y a quelques décennies, qui s’appelait « Soleil vert ». Est-ce que ça te dit quelque chose ? Le titre est une excellente trouvaille ! Peut-être que tu auras envie de développer ce sujet davantage à un moment donné ?

Homo ex machina  : Dans ce cas-là aussi, je pense que le récit gagnerait à être étoffé ; ce sont des questions contemporaines qui sont évidemment préoccupantes. J’en veux pour preuve le succès de la série télévisée, tirée du roman de Margaret Atwood, « La servante écarlate ». Si tu le connais, tu sais à quel point ça fait froid dans le dos !

La Décision : J’ai vraiment aimé ce livre, je l’ai savouré d’un bout à l’autre, et je te félicite sincèrement pour cette réussite.

Je suis contente que tu aies utilisé la citation de Jean D’Ormesson que je t’avais transmise à l’époque. Ainsi que la phrase de Leonard Cohen que j’aime beaucoup !

Ce qui m’a personnellement touchée dans cette histoire, c’est la relation de couple, l’importance de la communication et les écueils à éviter dans la traversée de la vie à deux pour ne pas faire naufrage. J’en tire des enseignements pour ma vie personnelle ; bien sûr, il ne s’agit pas d’une situation comparable ni aussi dramatique, mais je me rends compte que je ne suis pas toujours à l’écoute de la souffrance de Gilles, de ses frustrations par rapport à ses pertes de repères, que je dois m’efforcer de le rassurer sans minimiser son ressenti ou ses perceptions changeantes de la réalité.

Bref, à mon avis, c’est ton ouvrage le plus abouti : la forme, la sensibilité, les problèmes de l’individu face au monde du travail et la société actuelle, la tension dramatique, la tendresse, tout est magnifiquement équilibré.

Chère Catherine, j’aimerais te demander combien de temps ça t’a pris pour écrire cette histoire, si tu l’as écrite d’un jet ou si l’écriture s’est étalée sur différentes périodes.

Merci mille fois pour les émotions que tu m’as procurées à travers cette lecture !

Françoise

 

Catherine Lavaudle 10 mai 2021 sur Babelio 

L’écrivain aux mains rouges

Une jolie lecture avec « l’écrivain aux mains rouges » de Catherine Gaillard Sarron proposé dans le cadre du jury Librinova

C’est une belle aventure que je viens de vivre, portée par ces six nouvelles, écrites sur des faits de société :Un écrivain ne remporte pas le succès escompté avec ses romans. Il observe alors attentivement ses confrères, les écrivains à succès, et détermine l’élément déclencheur de leur succès, le pourquoi ils ont réussi et pas lui. Il va alors tout mettre en œuvre pour enfin écrire le best-seller de l’année, quitte à y laisser son âme.

Marc est sur son lit de mort et sa femme l’accompagne pour son dernier voyage. Elle est là, présente, et le soutien comme elle peut. Mais le remords le ronge. Depuis de longues années, il vit avec un poids sur la conscience. Un poids dont il doit absolument se libérer avant de quitter cette terre. Il finira par tout avouer à son épouse, mais le pénitent est-il bien celui auquel on pense ?

Un réveillon comme tant d’autres. Si seulement les Delachaux n’avaient pas décidé d’aller fête cette fin d’année entre amis « chez la Rose ». Si seulement Myriam n’avait pas décidé de rester danser un peu plus longtemps, rien de tout ceci ne serait arrivé…

Jean regarde par la fenêtre. En moins d’un an, il a perdu les deux tiers de son poids. Éva, sa femme, n’a plus un mari, mais un simple tas d’os. Cancer en phase terminale. Jean, avant de mourir aurait tant de choses à avouer à sa femme. Mais il n’ose pas, car il sait que s’il se libère de son terrible secret, la vie pour elle et pour son fils ne sera plus jamais comme avant. Alors, il hésite. Arrivera-t-il à libérer sa conscience ou partira-t-il avec son terrible secret dans sa tombe ?…

Des mites. Des mites alimentaires dans la maison. Partout. A profusion. Au point d’en devenir folle…

Lui, tout ce qu’il voulait, c’est écouter « des chiffres et des lettres » en paix, confortablement installé dans son canapé, un verre à la main. Elle, tout ce qu’elle voulait, c’était chanter. Faire des vocalises. Seulement, l’appartement est petit. le chant et une émission télé, en même temps, ne sont pas franchement compatibles. Alors, advienne que pourra…

Les personnages dépeints par l’auteur sont des gens ordinaires, vous, moi, ou votre voisin, et leur histoire est tout à fait plausible. Elle pourrait arriver à n’importe qui. J’ai bien aimé ces récits, très bien racontés. Quelques petites longueurs à certains endroits ont pu ralentir ma lecture, mais l’auteure par la justesse de ses descriptions a vite su me les faire oublier. Une très belle lecture, que je vous recommande.

Lien : https://www.instagram.com/ca..

 

Lectrice du jury Librinova – le 8 mai 2021

L’écrivain aux mains rouges

La couverture et le résumé sont parfait. Je trouve juste un peu dommage que ce soit le titre de votre première nouvelle qui soit également le titre de votre livre. Cela enferme trop vos histoires dans une seule et même nouvelle. Mais ce n’est bien sûr que mon avis.

J’ai bien aimé vivre les aventures portées par vos six nouvelles. Les personnages que vous décrivez sont des gens ordinaires, ce pourrait être vous ou moi, et leur histoire, tout à fait plausible, pourrait arriver à n’importe qui. Vous racontez très bien, même si quelques petites longueurs à certains endroits, a pu ralentir ma lecture. Mais la justesse de vos descriptions a su bien vite me les faire oublier. Une très belle lecture.

Merci à vous.

Publié le : 08/07/2021

 

Comité des lecteurs de Librinova – Le 17 février 2021

“Sosltice”

Quelques commentaires anonymisés du Comité des lecteurs de Librinova sur mon ouvrage Sosltice.

73% des lecteurs recommandent ce livre

Commentaires sur le titre, résumé, couverture

J’ai vraiment tout apprécié

Message pour l’auteur

J’ai beaucoup aimé ce roman, j’avoue que j’aurais préféré savoir comment les deux protagonistes de la première histoire se séparent après leur nuit ou plutôt s’ils vont se revoir. Néanmoins j’ai vraiment apprécié ma lecture très sensuelle. Je recommande vraiment ce roman. Je pense qu’il pourrait plaire à ceux ou celles qui ont aimé 50 nuances de grey, on ne manque pas de chaleur. Bravo !

Commentaires sur le titre, résumé, couverture

Joli titre, tout à la fois évocateur et mystérieux. La couverture semble faire référence à la première nouvelle, ma préférée.

Message pour l’auteur

Chaque récit suit un même chemin, construit sur le même schéma. Comme si nous étions invités à consommer un menu dont, en apéritif, le temps d’exposition, plutôt alerte, met le lecteur en appétit, prêt à déguster l’entrée composée de rêveries et d’attentes. Cette étape est particulièrement réussie dans Solstice. Puis, le plat principal, la rencontre amoureuse elle-même. Enfin en dessert, une fin laissant le choix aux lecteurs. Pour les deux premières nouvelles, la fin est semblable aux chutes que l’on peut rencontrer chez Maupassant. Une surprise, de l’inattendu. La fin de la troisième histoire apparaît décevante : nous commencions à nous habituer à ces fins éclairées d’une aube prometteuse. La déception peut exister car le texte nous avait fortement tenus. Un vraiment très joli souvenir : la chute de Solstice : « Au loin, la voix de Chloé … » Comme une ambiguïté qui apporte à ce voyage érotique un petit quelque chose de tentant, comme une béance qui s’ouvre à notre imagination.

 Commentaires sur le titre, résumé, couverture

La couverture convient parfaitement avec la première nouvelle, et le titre s’en inspire aussi. Est-ce un choix ? La luminosité de la photo de couverture est en tout cas toute bien choisie pour l’ambiance du livre (golden hour !).

Message pour l’auteur

Waouh. Éveillent et réveillent les sens, ces trois nouvelles se prêtent au jeu du désir érotique et de la passion. Des personnages que l’on visualise sans difficulté, des scènes que l’on peut aussi se représenter et une légère moue timide mais qui en dit long à la lecture de ces histoires. L’autrice nous transporte dans de belles envolées sensuelles et nous réveillent des sensations amusantes. J’ai lu ces nouvelles pendant ma pause de midi au travail, autant vous dire que je n’ai guère pu me concentrer le reste de la journée. On imagine, on compare, on se met à la place de ces hommes et femmes qui découvrent et redécouvrent la magie des sens et du désir qui monte au fur et à mesure. Une belle façon de renouer avec nos sensations ou celles à partager à deux, merci pour cette parenthèse pleine d’images et de sens cachés, pour la beauté des tournures qui peuvent parfois être agressives dans d’autres récits de ce genre. Rien de choquant, tout en volupté et en profondeur, je reste comp…

Commentaires sur le titre, résumé, couverture

J’aime beaucoup la couverture, le jeu de lumières avec le soleil, en fin de journée. Les jambes dévoilées sans rien de vulgaire, juste assez pour imaginer.

Message pour l’auteur

Le livre contient trois nouvelles érotiques. Ce n’est habituellement pas mon genre de lecture, cependant, les textes étant courts je me suis lancée. Seule sur mon canapé, il est vrai que les textes font de l’effet ! Toutefois, les histoires ne sont pas très originales, des inconnus faisant l’amour par hasard, je ne trouve pas cela très intéressant. La dernière nouvelle l’est plus puisqu’elle nous permet de nous identifier : un couple souhaitant se renouveler dans son intimité. Les textes sont par ailleurs bien écrits, je n’ai pas noté de fautes ou d’expressions trop répétitives. Bien que ce soit érotique je n’ai pas trouvé le texte trop cru ou vulgaire. Je recommande le recueil pour les personnes qui aiment ce genre de lecture.

Commentaires sur le titre, résumé, couverture

Je n’ai jamais été très friande des couvertures “trop réalistes” comme les photos. Je ne suis pas fan de la couverture choisie mais j’avoue que je ne saurais pas quoi mettre à la place. Le titre ne me dérange pas. Encore une fois par rapport à ce que contient le recueil, je n’aurais pas su quoi mettre à la place. Le résumé est pas mal, il nous décrit bien ce qu’on retrouve dans le recueil et il attire l’attention.

Message pour l’auteur

Je n’ai jamais lu ce genre d’écriture, c’est une sacrée première et je ne savais pas comment j’allais réagir face à ce recueil de nouvelles. Finalement c’est une belle découverte. À travers ces trois nouvelles, on découvre des lieux différents, des personnages aux caractères contrastés et trois univers bien distincts. À travers seulement 3 nouvelles, l’auteur a voulu faire en sorte que chaque lecteur se retrouve dans l’une d’elle, qu’il s’approprie l’une d’elle tant elles sont différentes. C’était une agréable lecture. La première nouvelle donne le ton sur la suite du recueil, plusieurs fois je me suis demandé jusqu’où irait l’auteur, jusqu’où elle oserait aller. La seconde nouvelle est celle qui m’a le moins accroché, il y avait trop de métaphores, trop d’imagination (la scène où la jeune femme s’imagine en déesse avec les dieux olympiens, allongée sur le sable fut trop irréaliste à mon goût) j’avoue avoir un peu perdu le fil à ce moment là. La dernière scène fut finalement la plus app…

Commentaires sur le titre, résumé, couverture

Je n’aurai pour ma part pas choisi le titre d’une des nouvelles du livre. Mais après c’était son choix. La couverture du coup ne correspond qu’à la première nouvelle. Le résumé est adapté.

Message pour l’auteur

J’ai beaucoup apprécié cette lecture qui fut intense en ressenti. J’aime beaucoup la plume de l’auteur ! Vraiment elle m’a conquise avec ces 3 nouvelles. L’auteur réussit parfaitement à nous tenir en haleine tout le long. Merci pour cela. Je ne me suis pas lassée du tout. Je dirai même que c’est monté crescendo. Bravo !

Commentaires sur le titre, résumé, couverture

Sans le “Nouvelles érotiques”, la couverture n’en dévoile pas assez. Je parle ici d’un manque de sensualité. Titre judicieux même s’il ne s’agit pas de ma nouvelle préférée 😉

Message pour l’auteur

Merci. Je me réconcilie avec un genre que je n’avais jamais vraiment pris la peine de découvrir. J’associais souvent ces textes à des hommes et femmes en manque, et donc à de la pornographie. Mon point de vue est maintenant différent grâce à vos textes qui parviennent, parfaitement, à transmettre les émotions de vos personnages.

Commentaires sur le titre, résumé, couverture

Le titre et la couverture sont adaptées au roman

Message pour l’auteur

Je ne suis pas du tout la cible de ce genre littéraire. Il n’en est pas moins que l’auteure a un bon style d’écriture et une plume imagée. Il y a un bon potentiel !

Commentaires sur le titre, résumé, couverture

Le résumé colle très bien à ce qui est décrit dans votre roman, et la couverture reste sobre. Rien de choquant, c’est un plus.

Message pour l’auteur

J’ai lu votre livre un peu par hasard, car le roman érotique n’entre pas vraiment dans mon domaine de prédilection. J’ai tout de même lu vos trois histoires. Bien que les situations restent très prévisibles, ce qui, je pense, est normal avec ce genre de roman, votre style reste fluide. Les scènes décrites ne sont pas excessivement choquantes, ce qui n’en fait pas un livre à caractère purement pornographique. Je pense qu’il peut effectivement y avoir des amateurs pour ce genre de littérature, du moins un public certainement plus sensible que moi. D’autant plus que c’est un recueil de nouvelles assez court et qui se lit très rapidement. Poursuivez vos écrits, vous avez très certainement un potentiel à développer.

Commentaires sur le titre, résumé, couverture

Couverture bien choisie, titre en accord avec le sujet, résumé qui correspond aux textes.

Message pour l’auteur

Vous auriez (si vous ne l’avez déjà fait ) intérêt à lire la nouvelle de Lampedusa intitulée Le Professeur et la sirène. Le sujet se rapproche de votre second texte et le style peut vous fournir un très bel exemple d’érotisme frotté d’un zeste de mythologie. Et certainement aussi vous saisiriez que vos chutes sont trop attendues, manquant de la surprise nécessaire à ce genre littéraire… Bonne chance pour la suite !

 

Lecteur Comité Librinova – 15 février 2021

“L’amour est aveugle”

Commentaires sur le titre, résumé, couverture

Je trouve que le titre est très original et la couverture me plaît, elle me donne envie d’ouvrir, je pense que c’est le rouge qui me fait cet effet la mais c’est très bien comme ça. Concernant le résumé je trouve qu’il indique vraiment aux lecteurs ou aux lectrices l’ambiance dans laquelle on va bientôt se plonger en tournant les pages de ce roman.

Message pour l’auteur

J’ai bien apprécié cette lecture même si je la trouve un peu trop courte. J’aurais plus aimé de détails entre la rencontre au centre et le rendez-vous chez André, j’ai trouvé cette rencontre prématurée. Toutefois je tiens à souligner que j’ai beaucoup aimé le côté érotique du roman qui m’a fait ressentir des sensations et des envies. Je pense que c’était là aussi le but et c’est réussi ! je trouve aussi que la poésie et maîtrisée. La fin mérite selon moi d’être plus poussée…

 

Danielle Thibault – le 6 février 2021

“L’écrivain aux mains rouges”

Catherine,

Je suppose que, quand on se donne la peine (ou le plaisir) d’écrire, on doit apprécier de recevoir un feed-back. J’ai la plus grande admiration pour les gens capables d’inventer des histoires et de les bien raconter.

Vous faites partie de cette classe, vous êtes une excellente conteuse.

Votre propos colle à notre monde, aux petites et grandes vicissitudes de nos vies quotidiennes. Petites : mauvaise foi et éternelles chicanes de couples, inconvénients qui prennent des dimensions obsessionnelles. Grandes : cas de conscience, responsabilité indirecte, égoïsme morbide.

Vous maniez bien les mots et les jeux de mots, avec un humour efficace, pour preuve, j’ai souri et ri à plusieurs occasions. J’ai remarqué les accents suisses. Je trouve ça sympathique, j’y suis sensible en tant que québécoise (notre français, oral surtout, est très particulier).

En somme, j’ai bien apprécié cette lecture. Merci !

Danielle Thibault, Québec

Commentaires 2020

Nicole Monzani – le 20 décembre 2020

L’écrivain aux mains rouges

Au-delà d’un simple message, Catherine est attentive à ses lecteurs(trices) qui peuvent exprimer leur ressenti. Avec légitimité elle accueille cet éclairage sur son travail, alors que pendant des mois elle s’est trouvée seule face à la création. Au fil de ses ouvrages, dont la cadence de parution est étonnante, se révèle un don dans la diversité de ses sources d’inspiration, bien que les thèmes abordés soient tissés de vécu. Avec brio elle crée des passerelles entre la réalité et l’imaginaire, et transcende des personnages qui parfois ne nous sont pas totalement étrangers.

Drame, humour, fantaisie sont au rendez-vous dans l’un de ses derniers ouvrages “L’écrivain aux mains rouges”.

Jacqueline J. – le 22 novembre 2020

L’écrivain aux mains rouges

Chère Catherine,

Je me réjouis déjà de lire l’écrivain aux mains rouges et te commande avec plaisir un exemplaire. Un tout grand merci d’avance et bravo pour ces écritures diverses…tu passes de la poésie… à l’érotique… aux nouvelles dramatiques, cela ne doit pas être facile de conjuguer ces trois domaines si différents. Quel beau travail !

Gros bisou

Chantal-Anne Jacot– le 18 novembre 2020

La ligne du temps

Bonjour Catherine,

Hier soir, je me suis délectée en lisant certains de vos poèmes. J’ai ouvert votre ouvrage au hasard : Destin, Les Moulins de la Vie, Vivre… et j’ai pu admirer la splendeur de l’univers. Merci !

Ensuite, j’ai fait connaissance de Germain Ducommun… et je me suis endormie à ses côtés. Je suis impatiente du dénouement et, dès aujourd’hui, je percerai le secret de Jonathan !

Je me souviens fort bien de votre passage sur la RTS en début d’année, si ma mémoire est bonne. Le reportage était réussi. Cependant, ce n’est qu’en parcourant la liste de vos éditions, que j’ai réalisé la diversité de vos styles !

Merci pour vos deux dédicaces, fort sympathiques et subtiles.

Cordiales et chaleureuses pensées

 

Nathalie Gobat – le 17 novembre 2020

La ligne du temps

Bonsoir Catherine,

J’espère que vous allez bien malgré cette période plus que particulière…
Vos poèmes sont toujours beaucoup appréciés lorsque j’en partage un dans une célébration de funérailles… Je vous cite d’ailleurs lors de toutes mes prestations, tellement vos poèmes et textes ont du sens et résonne dans le cœur des endeuillés.

Merci pour l’envoi du recueil et merci pour les frais de port offerts :-). Il est vraiment magnifique, et rien qu’en le feuilletant ce matin, je suis tombée sur un texte qui était parfait pour ma cérémonie de cet après-midi. D’ailleurs hier, j’ai eu une autre cérémonie et je vous ai cité trois fois en disant que j’adorais vos textes car vous écrivez de tellement belles choses qui nous touchent toujours au plus profond de notre être.

Oui avec plaisir pour une rencontre, lorsque les temps seront plus apaisés…

Belle soirée

Très chaleureusement

Daniel Fattore – le 11 novembre 2020

Extrait Billet “La ligne du temps”

“Entre classiques rassurants, rythmés par la clepsydre ou le sablier, et audaces poétiques pour dire les surprises du temps, “La ligne du temps” apparaît ainsi comme un beau recueil de poèmes, oscillant entre maîtrise et liberté pour dire délicatement le temps qui passe, avec tout ce qu’il peut avoir d’inexorable et de triste, mais aussi d’heureux et d’étonnant.”

 Tous les billets

Sandrine – le 21 septembre 2020

Solstice

Première lecture érotique pour moi. Je n’ai lu aucun mot malsain mais du plaisir pur!

Un brio poétique. Très joliment écrit.

Merci pour cette découverte.

Sandrine

Pierre Yves Lador – Extrait du billet du 24 août 2020

Solstice

Marie Loverraz – Il y a dans ces trois bulles comme une nostalgie du paradis perdu… et retrouvé au moins le temps de quelques orgasmes, de trois rencontres.

C’est à trois métamorphoses auxquelles nous invite l’auteure dans un heureux mélange de simplicité et de mythe.

C’est un des points forts de l’auteure que de réussir ce passage de l’univers quotidien à celui de l’érotisme ou du fantastique, un monde parallèle.

Voir le billet de Pierre Yves Lador

 

Daniel Fattore – Extrait du billet du 2 juin 2020

“Solstice”

Voir tous les billets de Marie Loverraz

Marie Loverraz  C’est bientôt l’été, le soleil commence à cogner fort sur nos contrées, et après une longue période de confinement, on a envie de se laisser caresser par l’air chaud. Alors, pourquoi ne pas emporter dans sa poche “Solstice”, le nouveau recueil de nouvelles érotiques de l’écrivaine Marie Loverraz? Elles sont trois, ces nouvelles, et à chaque fois, c’est l’été, avec son cortège d’images attendues: champs de blé, plage en Grèce, et même, dans un registre un peu différent, anniversaire de mariage chaud bouillant.

“Chaque nouvelle s’avère habilement troussée, à la fois explicite et baignée de poésie, pour relater des étreintes à la fois évidentes et extraordinaires, parce que l’auteure sait en dire tout le bonheur qu’elles peuvent susciter, tout simplement.”

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F.G – le 24.03.20

L’amour est aveugle

Chère Catherine,

Je te donne un retour sur ma lecture de « L’amour est aveugle » : D’abord, sache que je n’ai été choqué en rien par ce roman érotique. Sans être un connaisseur du genre, je te connais assez bien pour savoir ta finesse et d’esprit et de cœur. L’idée de cette rencontre entre l’aveugle et Augustine est d’emblée délicate. Ce qui m’a plu avant tout, du point de vue de la disposition du texte, c’est que tu ménages une progression psychologique où tu décris parfaitement toutes les nuances d’une approche féminine et masculine. J’ai même appris des choses sur la manière d’entrer dans le jeu subtil de la séduction réciproque : la femme ne s’abandonne que lorsqu’elle a intériorisé les avances progressives d’André, alors même qu’elle s’attend très bien à ce qui va finir par arriver : la relation complète âme et corps dont le lieu est bien l’acte sexuel consenti et follement désiré grâce à la montée remarquablement décrite du désir.

C’est de ce point de vue une réussite littéraire et forte de la compréhension de fonctionner de la femme et de l’homme.

Ce n’est donc pas un roman porno proche du vulgaire directement concentré sur les descriptions qui visent l’excitation du lecteur, c’est une initiation à l’œuvre de l’amour dont l’incarnation est magnifique quand elle ménage pareilles nuances dans l’approche des corps.

Alors l’acte sexuel peut advenir comme un couronnement permettant une communion rare où le cœur, l’âme et la chair ne font qu’un. “

Avec toute mon amitié

Graziella – le 02.03.20

L’amour est aveugle

Tout ce que tu dis à la page 72 de ton livre, c’est ce que je pense. Merci pour cette belle histoire.

“— Pour vous répondre franchement, dit-elle au bout d’un moment, oui, j’ai pris un réel plaisir à cette lecture. Plus que je ne l’imaginais. Je suis admirative du talent qui permet à un auteur de décrire avec de simples mots un acte que tout le monde pratique mais qui, sous sa plume, devient si explicite, esthétique et excitant qu’il est presque plus agréable de le lire que de le faire. Cet extrait est remarquablement écrit. Et j’y ai trouvé la poésie, la sensibilité et la sensualité que je recherche, moi aussi, dans ce genre de littérature. Je comprends mieux, à travers ce texte, le pouvoir et la puissance des mots sur le corps et l’esprit. Et surtout le pouvoir de l’imagination, cette faculté extraordinaire qui permet de créer de toutes pièces des personnages et des histoires en faisant surgir du néant une réalité fantasmée plus vraie que nature. “

Page 72 du roman “L’amour est aveugle”.

Christine – le 02.03.20

L’amour est aveugle

Dans cette belle histoire d’amour il y a l’élégance du verbe. C’est une poésie érotique avec des mots angéliques. Puissant, beau et délicat. Bravo!

Suzy – le 27.02.20

Bonjour Catherine,

Je lis « le baiser du bourdon ». C’est merveilleusement bien écrit. J’adore ! En particulier Obscurs désirs. La chute est parfaite.

Bonne fin de semaine. Très cordialement

Losamon – le 12.02.20

L’amour est aveugle

C’était sympa de voir cette petite séquence. Et je confirme : tes histoires érotiques sont belles car ce sont avant tout des histoires d’amour et qu’aucun des partenaires n’est transformé en objet. En plus, on apprend des tas de mots (à mon âge, c’est le moment !).

Petite question : as -tu relu le livre biblique « Le cantique des cantiques » ? Le côté poético-spirituel est imbibé d’érotisme. Et plaît beaucoup aux mystiques…

Daniel Fattore – Extrait du billet du 29 janvier 2020

Frère d’Âme : Dire le deuil, dire la promesse du printemps.

Extrait : Avec “Frère d’âme”, Catherine Gaillard-Sarron signe un livre de poésie extrêmement personnel autour du décès du frère de la poétesse, emporté par un cancer. Recueil? L’écrivaine va plus loin que la collecte d’états d’âme épars et fait de son livre un ouvrage qui, simplement, se structure autour de double loi d’airain de la mort et, pour ceux qui restent, du temps qui passe. Collectés en quelque 75 pages, les poèmes condensent donc les ressentis sur le ton du souvenir, mais aussi sur celui de la vie et de l’amour qui doivent primer…

…Ainsi l’écrivaine, recourant à des mots simples et directs, met son cœur à nu et recourt à tout son art poétique pour dire de manière juste et profonde le départ d’un être cher, ce frère, ce Christian auquel “Frère d’âme” est dédié, invitant le lecteur à partager sa peine, mais aussi la promesse d’un deuil apaisé. Ce que suggèrent les jonquilles inondées de soleil figurées sur la couverture de ce livre fort.

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Daniel Fattore – Extrait du billet du 13 janvier 2020

Marie Loverraz : l’amour au bout des doigts

Extrait : “L’amour est aveugle”: un adage mille fois entendu devient le titre d’un micro-roman signé Marie Loverraz. Pour le coup, il doit être compris au sens littéral: Monsieur est aveugle. Ce qui ne l’empêche pas d’être sensible… de tous ses sens restants. Auquel il faut ajouter un sixième sens qu’on appellerait, en d’autres circonstances, l’intuition féminine – ressentie par un homme, pour le coup, ce qui ne manque pas de déstabiliser Madame.[…]

[…] L’intérêt littéraire est ailleurs. L’auteure a en effet l’habileté de faire tout doucement monter la température, en dessinant une relation amoureuse qui se précise, jusqu’au point suprême.

[…] Elle organise son récit en cinq chapitres, qu’on peut voir comme les cinq sens, qui participent de tout bon érotisme. La véritable force d’Augustine est ainsi sa voix, présentée comme extrêmement sensuelle et chaude. Le toucher joue son rôle dans le texte aussi, bien entendu, par le biais des caresses. La vue elle-même est essentielle, d’ailleurs: l’auteure suggère qu’André, aveugle à la suite d’une maladie (il a été peintre, et le caractère érotique de ses créations concourt au crescendo) a des yeux au bout des doigts. Quant au goût et à l’odorat… de façon classique, un peu de champagne y pourvoira en faisant des bulles dans les cœurs. Davantage qu’un thé…

Pourtant, ce n’est pas sur un orgasme que s’achève “L’amour est aveugle”, mais sur un poème.[…] L’auteure paraît suggérer ainsi que la poésie va encore plus loin que le bonheur physique d’un moment d’amour, fût-il virtuose.[…] 

C’est peut-être ça, l’amour: quelque chose de beau que la poésie transcende.

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Commentaires 2019

Daniel Fattore – extrait du billet du 16 décembre 2019

“Bain de minuit” : L’anticipation inquiète

Catherine Gaillard-Sarron L’écrivaine Catherine Gaillard-Sarron aime aborder tous les genres littéraires, avec une prédilection pour la nouvelle. “Bain de minuit” marque l’irruption de l’écrivaine dans le monde de l’anticipation, au travers de quatre nouvelles qui reflètent avec intelligence l’essentiel des inquiétudes que l’avenir suscite au sein du grand public.

“Homo ex Machina” et “Les 70e Alzheimeriades” sont deux nouvelles brèves; on aurait même envie de dire qu’elles sont plutôt les portraits poussés à l’extrême d’une situation qui résulte d’une évolution qui porte sur plusieurs générations. Climat détraqué, déséquilibre des âges, quoi d’autre? Les deux longues nouvelles qui enveloppent ces deux textes brefs sont l’occasion d’une réflexion de plus longue haleine, aux ambiances de nouvelles d’horreur.

Dans “Roald”, c’est ainsi dans un frigo précisément surnommé Roald (comme Amundsen) qu’on retrouve un informaticien, marié avec bonheur.  Et si le frigo congèle les humains, force est de constater, page après page, que l’amour les réchauffe. Comme les disputes.

C’est aussi le ressort de l’amour qui fait avancer “Bain de minuit”, la nouvelle qui donne son titre au recueil. L’auteure joue sur tous les registres: au début, on se sent embarqué dans une intrigue policière autour de la disparition de ces deux jeunes gens. Marc Rossignol mène l’enquête…

Ce nom de “Rossignol” suggère que l’inspecteur s’envole, à l’instar de Camille et Antoine, disparus mystérieusement. Osant quelques pages érotiques empreintes de complicité entre deux jeunes amants, l’auteure dessine les contours de cette disparition, due peut-être à des machins verts et informes sur lesquels elle entretient un flou volontaire – peut-être même que ce sont d’involontaires créatures humaines. Il est piquant de constater que les amoureux et le policier disparaissent de la même manière, dans leur voiture. Et quand Jean Ferrat résonne dans la voiture des amoureux qui se font bouffer, on songe immanquablement à “Christine”, la voiture qui tue imaginée par Stephen King, et à son autoradio intempestive. Sans compter que si Jean Ferrat n’est peut-être pas la tasse de thé évidente des Millenials, force est de constater qu’il constitue une bande sonore idéalement structurée pour “Bain de minuit”.

Fluide, parsemée de traits d’esprit qui n’effacent pas la gravité du propos, l’écriture est habile à conduire le lecteur au travers d’histoires et de choses vues. Elle est le vecteur d’une inquiétude constante face au monde qui vient et reflète quelques questions de fond que nous nous posons aujourd’hui: solidarité entre les générations, évolution climatique, révolution numérique. Comment vivrons-nous alors dans une poignée de décennies? Sur la base de quelques éléments spécialement sensibles, telle est la question que l’auteure (se) pose.

 

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Message téléphonique de Graziella Parenti – le 13 décembre 2019

Lecteur audio

Nicole Monzani – le 13 décembre 2019

Frère d’Âme

J’ai apprécié dans ce recueil, la mise en lumière “du fait que le regard profond suffit dans l’échange, qu’une douleur muette lie celui qui sait qu’il va partir à celle qui sait qu’il lui faudra apprendre à sur-vivre à cette peine, à vivre-avec le deuil, à vivre-sans la présence de l’autre.
J’ai perdu mon unique frère il y a dix ans. Nous étions très très proches, et son souvenir bien présent dans ma vie, m’apporte une forme de soutien. Jamais l’oubli ne s’installe.

Nicole Monzani – le 13 décembre 2019

Bain de minuit

Dans ces quatre nouvelles fantastiques, donc intrigantes, Catherine dénonce l’idée véhiculée depuis des décennies  que le progrès était la promesse d’une configuration du futur à la fois crédible, séduisante et rassurante. Or face à un monde dévasté qui se dessine, l’auteure, forte des arguments rationnels de certains scientifiques, saisit les prémices de ce qui pourrait devenir un point de non-retour, et avec un talent subtil elle construit par anticipation des situations possibles, qui dans une ambiance anxiogène glacent le lecteur mais l’incitent à poursuivre.

Alors l’émotion suscitée par l’écriture et la lecture est-elle un cri contre l’incroyable surdité des politiques et riches profiteurs ?

Chris Kufrin 18 novembre 2019

Frère d’Âme

Ma chère Catherine,

J’ai dévoré ton livre. J’aurai voulu connaître ton frère.  Je suis une malade de physique quantique et autres trous noirs.

J’ai apprécié ton livre sur deux niveaux. D’abord ton ressenti, très pudique et d’autant plus fort, et le contenu littéraire. Tu as atteint la perfection. Je n’écris pas de poésie, mais j’en lis beaucoup et ce que j’aime obtenir c’est une musique, une musique du premier coup. Pour certains poèmes, je dois les lire à voix haute, y mettre du mien pour donner le rythme avec mon souffle et comme j’ai fait la moitié du travail, je suis à moitié contente. Je n’ai pas eu besoin de lire tes vers à voix haute, ils vont droit au cœur avec leur mélodie et leur propre rythme.

J’ai aimé les titres des chapitres et les trois vers avant chaque poème. Une petite préparation à ce qui allait suivre. Et ce matin, j’ai vite jeté un œil pour vérifier si je n’avais pas changé d’idée depuis hier, non !

J’ai lu à voix haute : « Un pas, deux pas, trépas, Valse du temps qui passe, Étreinte de la mort »   La musique, le rythme, la métaphore…

Magnifique.

Cathy Le Gall – Billet du 25 juillet 2019

Les Mille et une pages LM – Le commentaire de Cathy sur Allons voir si la rose :

Lorsque l’on m’a proposé ce roman en service presse, je ne savais pas du tout vers quoi je me dirigeais, le titre et la couverture ne laissaient aucun indice, maintenant que j’ai fini de le lire, je peux vous dire que ma lecture à été très bonne. Je ne vais rien vous révélez sur l’histoire tout est dans le résumé, mais ce que je peux vous dire, c’est que j’ai aimé ce que l’auteure m’a proposé, son écriture est très agréable, les personnages qu’elle nous présente sont hauts en couleur. Ce court roman est plein d’humour plutôt caustique, mais c’est ce que j’aime. Ce roman raconte ce que peuvent être certains conflits entre voisins, une satire qui m’a fait sourire bien souvent. Ce roman, se lit très vite, m’a fait passer un agréable moment de lecture. Catherine Gaillard-Sarron est une auteure que je veux lire à nouveau cela est évident.

Babelio

Coralie Frei – le 25 avril 2019

Le baiser du bourdon

J’ai beaucoup apprécié ton livre. Chapeau ! Ce n’est pas mon genre de lecture, mais l’écriture, fluide, franche, claire et sans complexe aucune m’a profondément touchée. Honnêtement je t’avoue ne pas me sentir apte à produire une telle littérature.

Je te souhaite beaucoup de succès pour tes livres.

Daniel Fattore – Extrait billet du 12 février 2019

Ces femmes qu’on honore en jouant sur les registres des sens 

Pour changer de genre littéraire, en effet, il n’est pas rare que les écrivains changent aussi de nom. Et là, l’auteure, personnalité suisse romande douée dans le genre de la nouvelle, s’essaie au genre érotique. Cela, avec un bonheur certain… et le souci que ses personnages féminins, toujours au centre des histoires relatées, se trouvent honorés, à plus d’un titre.

Le Baiser du bourdon” fait figure de modèle, avec une nouvelle où l’on s’étreint sans dissonance. Dès lors, les autres textes jouent à dévier peu à peu de cette manière orthodoxe, en somme, de faire les choses. Cela passe par la sollicitation d’autres sens. On pense à l’ouïe bien sûr, omniprésente dans l’hypnotique “La Charmeuse de vit…“, où une femme répond, envoûtante, à une panne typiquement masculine. Cela, en faisant appel à l’image de cette mer toujours recommencée, lieu où les corps nus s’alignent sous le soleil.

D’autres sens encore sont sollicités dans “Obscurs désirs“, une nouvelle qui a un côté expérimental puisque tout se passe dans le noir.

Les deux dernières nouvelles du recueil évoquent des approches moins innocentes, mais pas moins astucieuses, de l’érotisme. Les personnages d’Hector et d’Andromaque sont ainsi ressuscités dans “Le grand crack“, une nouvelle qui met en scène un Giovanni qui voudrait bien se rapprocher de Don Juan – sans y arriver tout à fait, car il ne fonctionne pas de la même façon.

Et pour terminer, “Plaisirs gémellaires” évoque les joies du triolisme et du fétichisme du pied. Un jeu troublant qui met en scène deux hommes jumeaux, d’une ressemblance frappante, sincèrement heureux de faire plaisir à une femme qui, par le passé, à peut-être fait l’amour avec l’un et l’autre sans le savoir…

Lire le billet entier

Isabelle Chabanel – 11 février 2019
Je viens de terminer « Mme Serpit-Coht décortique l’actualité », ce dialogue conjugal est très bien mené, les répliques coulent et nous faisons avec ce couple (que vous ne sauriez renier) un petit tour d’horizon de l’actualité qui n’est pas piqué des vers et ne laisse rien au hasard. Bravo !
Daniel Fattore – Extrait billet du 4 février 2019

La presse dominicale romande à la moulinette

« Une couverture qui a tout du roman noir… mais ce n’est pas tout à fait à cela que l’écrivaine suisse Catherine Gaillard-Sarron invite son lectorat avec Mme Serpit-Coht décortique l’actualité. Non, l’idée est plus simple: elle consiste en un passage à la moulinette de l’actualité dominicale, réalisé en couple, avec Mme Aimée Serpit-Coht en tête de liste et son mari Fernand qui opine du bonnet en remplissant ses grilles de mots croisés ou de sudoku.

Un tel projet impose naturellement la forme du dialogue, et ceux-ci sont effectivement nombreux. Ne dites surtout pas « sois belle et tais-toi! » à Mme Serpit-Coht, dite « Mme Serpe », elle n’en serait pas capable ! Au contraire, elle parlerait deux fois plus (sans compter qu’elle écrit…). »

« Reste que la complicité entre les deux époux, faite de sadomasochisme verbal mais pas seulement, est palpable. En témoignent les nombreux jeux de mots, doubles sens et néologismes amusants qui émaillent le propos. Comme tombés naturellement au fil de la plume, ils sont parfois attendus, le plus souvent subtils et astucieux, et apportent leur touche de légèreté souriante à un propos qui a tout de la conversation en roue libre, nourrie d’un sens certain.  »

Françoise L. – 3 février 2019

Chère Marie,

J’ai bien apprécié la lecture de ton recueil de nouvelles Le baiser du bourdon. Celle que j’ai préférée, c’est Obscurs désirs, suivie de Un grand crack, Plaisirs gemellaires, et les deux premières. Elles sont toutes fort bien écrites; j’admire ta maîtrise de ce vocabulaire particulier, tu as su décrire subtilement des scènes explicites, sans aucune vulgarité. Et puis, chaque histoire a sa couleur particulière, sa touche d’humour, c’est vraiment réussi!

Jean-Marie Leclercq – 17 janvier 2019

Le baiser du bourdon

« Je crois qu’à travers les métamorphoses de l’érotisme et de la résistance du sentiment à tous les embrigadements, Marie Loverraz a su trouver les mots pour dénoncer les paradoxes.

Il est une pudeur naturelle qui se cache des regards, une autre qui éclot au sein de la fureur érotique quand nous échouons à saisir celui ou celle qui s’abandonne. Mais le corps de l’aimé demeure un continent obscur : la manière dont il s’offre à nous en dit long sur ce qu’il dissimule.

Dans ce recueil, l’obscène n’est pas ce qui est montré, c’est ce qu’on ne pourra jamais voir ni posséder,  pas d”alliance de l’indécence et de l’absence.

Il ne suffit pas d’enlever ses vêtements pour déclencher la confusion érotique, il faut une grâce, un art qui n’est pas donné à tous. L’hommage que Marie Loverraz rend à l’érotisme est une manière de l’ennoblir ! »

Commentaires 2018

Chris Kufrin – le 6 novembre 2018

Hello Catherine,

Je suis contente de voir que tu es toujours créative. J’aime la poésie, la bonne, quel plaisir de lire tes deux poèmes dans Sillages. Le poème : « Ton cœur est dans ton regard » est magnifique. Il n’y a pas un mot de trop. Je pense l’apprendre par cœur. C’est un de mes dada, apprendre des poèmes. Le second « Rester Hu-main » est magnifique aussi. Je n’ose dire que c’est un poème de vieux, et j’aimerais tant que les jeunes gens d’aujourd’hui regardent l’autre avec autant d’amour et de tendresse que dans ton poème. A bientôt.

Concerne le recueil “Intemporalité”

Nicole Monzani – le 15 octobre 2018

Le roman « La Décision », de dimension tragique, se lit comme un thriller. Le rythme, les mots, la densité du contenu contribuent à donner le vertige en prenant le lecteur au piège. Le héros vit dans sa chair l’effondrement de sa passion pour son travail, et le texte fouille au plus intime de cet être pour observer sa souffrance au plus près. L’analyse en profondeur qui creuse pour atteindre les racines du mal, est très juste.

Au fil de la lecture, l’auteure, avec son style particulier et riche, modifie avec brio la perspective tragique pour en faire un hymne à l’amour.

Thriller… ou roman d’amour, l’essentiel à mes yeux est que cette histoire oblige le lecteur à ouvrir les yeux sur un monde bien réel, et source d’inspiration

Christian Campiche – le 10 octobre 2018

Dans « La Décision », son dernier roman, Catherine Gaillard-Sarron met en scène un drame professionnel, l’ambition brisée d’un cadre. Ce faisant, l’auteure confirme son talent du huis-clos. L’intrigue mûrit et monte au fil des pages. Extraits. Réd.

Voir le lien sur la Méduse.ch  10 octobre 2018 in LittératureCatherine Gaillard-Sarron

Marie Bruhlart – le 17 août 2018

La Décision, avril 2018 – 290 p.

Vendredi 6 septembre 2013 : Vincent a pris la décision de ne pas retourner au travail lundi. « Il n’est pas l’agneau immolé des Evangiles qui expie les péchés du monde en mourant sur la croix au terme de la passion. Il ne veut pas être stigmatisé. » Suite à une mise à l’écart par ses collègues, il n’a pas obtenu la promotion attendue. Malgré une intimité intense retrouvée avec sa femme Vivianne, il ne parvient pas à lui avouer sa situation. Il échappe de justesse à une embardée suicidaire, ce qui réjouit toute sa famille. Durant sa convalescence, il trouve la force d’écrire pour vivre une véritable libération par la parole. La lumière a jailli de sa faille intérieure car, comme le chante Albert Cohen, « dans toute chose il y a une déchirure et c’est par là qu’entre la lumière ».

Ce livre est un beau témoignage sur l’amour qui éclaire la vie.

 

Rodarima – le 26 juillet 2018

Un livre palpitant, une très belle plume, on ne peut attendre la fin. Maîtrise parfaite de l’histoire qui évolue entre tension, abandon et amour, pour surgir vers la lumière.

Concerne le roman “La Décision”

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Serge Goy – 11/07/18

Je termine maintenant la lecture de ton bouquin. Ma première idée a été de te féliciter, mais j’aime mieux te remercier. Te remercier de m’avoir fait passer de si bons moments ces trois derniers jours. J’ai en effet lu le livre en beaucoup moins de temps que je le pensais. J’y ai trouvé une résonance particulière et un parallélisme surprenant avec mon existence. Ça a agi comme un révélateur et ça fait du bien.

Il y a quand même une chose que je trouve remarquable, c’est ton courage. Tu n’as pas peur d’entrer dans des démarches très osées pour exprimer des choses comme ces expériences de mort imminente dont je viens de lire deux livres. J’y ai retrouvé l’essentiel de ce que j’y ai lu. Et j’aime aussi les surprises qui jalonnent l’histoire et qui relancent les situations, les angles nouveaux que tu trouves.

Bref, je trouve ça super et me réjouis de te retrouver, avec Claude, lors d’une prochaine rencontre au Hessel peut-être.

Serge

Concerne le roman “La Décision”

Armand D. – 10/07/18

J’ai eu de belles émotions en lisant ton roman La Décision, et ainsi me remettre en question sur ma petite vie d’égoïste.

Encore Bravo!!

A Bientôt

Armand

Pascale Glepin – 2/07/18

Je viens de terminer le roman La Décision offert par une amie et cela faisait bien longtemps que je n’avais pas lu un livre d’une traite. J’ai beaucoup beaucoup aimé, et beaucoup est un piètre euphémisme! Quelle palette d’émotions et de sentiments, j’en suis toute retournée. Ce roman m’a touchée autant par la délicatesse et la force des sentiments exprimés que par la violence sous-tendue par moment.
On comprend mieux de quelle manière l’ambivalence de l’Homme peut le pousser au pire lorsque la douleur est indicible, pour finalement lui permettre de se transcender dans l’Amour et le Partage.

Je recommande vivement ce roman de Catherine Gaillard-Sarron.
Merci beaucoup pour ce présent précieux.

Pascale

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Daniel Fattore – 30/06/18

La Décision“, c’est trois ou quatre jours qui vont tout changer dans la vie d’une famille suisse romande ordinaire. Tout le monde en sort grandi et plus mûr, même les deux filles qui, en fin de roman, ne pensent plus guère aux gadgets électroniques indispensables pour être dans le coup à l’école.

En forme de nouveau départ, la conclusion a des airs de roman feel-good, suggérant que si l’absence de communication peut faire d’importants ravages, parler de ses problèmes, par écrit ou par oral, est un premier pas vers leur résolution. Et “La Décision” trouve les mots simples et justes pour le dire.

Extrait billet Daniel Fattore 30.6.18

Jacqueline Juillet – 27/06/18

Un petit mot pour te dire que je viens de terminer La Décision. Je l’ai lu très vite…il fallait que je sache et c’est chaque fois avec plaisir et hâte que je m’y replongeais.

Très joli roman sur la vie d’entreprise, parfois difficile. On ressent vraiment les tourments de Vincent et sa quête pour être à la hauteur. Vraiment bravo ! J’ai eu un immense plaisir ! vivement ton prochain roman.

Ma maman te remercie aussi pour IntempOralité. Elle aime beaucoup te lire aussi.

Un tout beau weekend à vous deux.

Jacqueline

Bourdon – 25/06/18

J’ai eu beaucoup de plaisir à lire ce livre écrit dans un français excellent et avec un vocabulaire choisi ! Ce n’est pas un thriller mais le suspense reste présent concernant la nature de cette « Décision ». Je ne l’ai pas lâché car l’art de l’auteure pour parler de l’amour, de la résilience, de l’importance de l’échange pour lutter contre le mobbing, la  médisance et la méchanceté d’une personne ou d’un groupe de personnes m’a amené à suivre les personnages de ce roman sans  m’arrêter pour apprécier à sa juste mesure le final…

En résumé, c’est un message plein de compassion qui m’a permis de remettre en question toute une série de mes « certitudes » !

Bourdon – 15/06/18

Je ne suis pas un amateur éclairé de poésie… ! Mais, quand j’ai parcouru et lu dans sa totalité « IntempOralité », je me suis rendu compte avec une évidence extraordinaire que le Temps peut se traduire aussi par l’oral !

70 poèmes pour dire simplement, mais avec des vers magnifiques, des mouvements, des souffles, des senteurs, des couleurs, des observations, des sensations que le temps n’est pas seulement sur sa montre ou sur une horloge ; il est dans l’observation des beautés de la nature et de leur évolution.

C’est une performance que l’auteure a superbement maîtrisée pour nous présenter toutes ces merveilles qui nous entourent et que l’on voit que trop rarement…

Claude Gaillard – 30/05/18

Comment réagir face aux promesses, aux mensonges, au harcèlement, au mobbing : Prendre une DÉCISION !

Malgré ses années de bons et loyaux services, d’heures supplémentaires, de travail à domicile, « la claque retentit ». La direction donne le poste à un autre, plus jeune, plus…

Comment rentrer à la maison ? avouer cet affront, cette injustice à Vivianne qui l’attend avec le champagne pour fêter l’événement.

Le retour est ponctué d’orages, de ressentiment, de honte, de colère.

Sa décision est prise… !

Champagne, petits fours, baignades, amours torrides retrouvées, Vincent et Vivianne se retrouvent et avec leurs deux filles, le week-end est presque idyllique ! d’une rare intensité amoureuse !

Lundi matin, départ au travail comme si de rien n’était…

C’est à ce moment-là que tout commence, que la décision devient réelle !

Avec ce troisième roman, Catherine Gaillard-Sarron prouve son habileté à mener de front deux situations opposées. D’un côté, une situation de famille manquant un peu de piquant, de l’autre une situation professionnelle perturbée par le mobbing, les mensonges et finalement la désillusion !

Le talent, la sensibilité, l’amour, toutes les formidables qualités d’écrivain, amenées avec un suspense assez stressant,  montrent que l’auteure mérite, sans aucun doute, le titre de romancière.

N’hésitez pas à entreprendre la lecture de ce captivant roman que vous aurez certainement beaucoup de peine à lâcher. C’est plein d’amour, de sensibilité mais aussi de réflexions sur notre société qui ne manqueront pas de vous interpeller. 

Très bonne lecture

Daniel Fattore – 16/02/18

« Oui, dans le mot « intemporalité », il y a « oralité ». C’est quelque chose que tout le monde peut constater, avec un peu d’attention – mais est-on toujours attentif? Cette particularité, la poétesse a choisi de la mettre au jour dans son recueil “IntempOralité”.  Ainsi, le titre donne tout son sens au recueil: la poésie est un art oral, et l’auteure invite le lecteur à lire ses poèmes à haute voix. Et ceux-ci, en abordant des thèmes de toujours, constituent autant de tentatives de dépasser le caractère forcément fini, mortel, de l’être humain. Et justement: vaincre la mort, la transcender, est l’une des vocations de l’art.»

Extrait billet Daniel Fattore le 16.02.18

Jean-Marie Leclercq – 03/01/18

J’ai bien reçu ton nouveau recueil “IntempOralité” et je t’en remercie. Bel ouvrage qui mérite le respect pour traduire l’indicible; Comme son titre l’indique tes vérités sont intemporelles ! Les vers témoignent d’une grande sensibilité et expriment la quête d’amour, la soif d’absolu, un appel dont la force est décuplée en métaphores.

C’est une poésie offerte à qui aspire à s’élever pour observer ce que nous sommes au royaume de la réalité humaine. “Il y a dans tes yeux aux couleurs de la terre, le même éclat vital qui anime la vie”, un arche naturel au cœur de ta complicité avec le quotidien. Heureux homme ( Claude ) soudé par un amour de totale fortune)… Mes compliments à la “Dame ” au regard d’éther si je puis oser !

Jean-Marie

Commentaires 2017

Romuald Reber – 30/08/17
“Un paquet surprise” à ouvrir absolument! Une très belle plume, de l’imagination, de l’humour et de l’amour, du cynisme, de l’érotisme et surtout beaucoup d’humanité desservent ses nouvelles. De très bons moments passés dans cette lecture. Des histoires intrigantes, passionnantes et touchantes. Catherine Gaillard-Saron nous transmet dans ce paquet plus que des surprises, elle nous propose des observations subtiles sur la vie des gens et transforme le quotidien en des aventures formidables. Je recommande vivement ce livre. Romuald Reber
Eric Walther – 12/04/17
J’ai lu presque d’une traite “Délit de fuite“. Enfin un polar qui n’est pas trop glauque… Ton commissaire est sympa (sa compagne aussi) et tu arrives bien à nous faire sentir tout le désarroi de cet homme qui “pète un plomb”. La petite touche sentimentale est juste érotique comme il faut en ce printemps et les “performances” sont enrobées (joli mot pour des scènes de déshabillage) de douceur… J’attends le prochain polar ! Eric
 François Gachoud – 12/03/17
Chemins de traverse Comment philosopher en profondeur à travers des contes? Catherine Gaillard-Sarron excelle en cet art fort rare. Car elle a compris qu’une des meilleures manières d’apprendre à penser passe par le caractère pédagogique de la création fictive. En cela, elle rejoint le génial Voltaire qui, dans Candide ou Zadig, a brillé dans le genre. J’invite lectrices et lecteurs à découvrir ces récits où des chemins de vie, des chemins insolites, surprenants parfois, se dévoilent à travers des personnages très vivants. Comme ce John en quête de son temps intérieur aux dimensions infinies (“Le grand Horloger”) ou ce couple de marcheurs qui dialoguent sur l’amour en quête de son éternité possible ((“Les marcheurs”). Le plus étonnant parmi ces contes est sans doute “Le Grand Rêve” où une grand-mère initie sa petite fille à la découverte des vertus trop oubliées de la féminité proposée comme matrice originelle de tout amour humain. A l’heure où il y a encore tant à faire pour donner toute sa place au rôle de la femme dans nos sociétés, ce conte est porteur d’un message prophétique. Ce recueil à lire avec une curiosité vive et sans modération. François Gachoud, philosophe
Denis Pierre Meyer – 22/02/17
Bonjour Catherine, Des plus beaux poèmes d’amour de la poésie française que je lis ces jours, du XII au 20ème siècle en vieux François, je lis les vôtres, issus de “La terre de l’Aimé“, avec autant de plaisir même si la forme et le langage de notre siècle est finalement peu différent, la tendresse et l’érotisme de bon aloi est peut-être un peu plus direct aujourd’hui. Je ne peux dire ma préférence pour l’un ou l’autre, je citerai quelques-uns, Jeux de mains, jeu  coquin… Pendant qu’il est encore temps… En avant toute… Coureur de cœur, Comme il est bon… « Acorps » parfaits, Cœur à corps… Lâcher prise, Amour partagé… et qui sait si à mon tour ceux-ci m’amènent à renouveler de façon nouvelle ma prose poétique, merci pour ce moment de partage au-delà des corps ou l’amour le transcende comme une quête à la fois charnelle et spirituelle. Mes meilleures pensées poétiques. Denis Pierre Meyer
Françoise Leu – 05/02/17
Chère Catherine, J’admire sincèrement le travail que tu réalises; je me demande comment tu arrives à écrire autant, dans des registres différents, en plus de la gestion du site web (toujours très agréable à consulter). J’ai bien aimé Allons voir si la rose et la lecture des récits de Chemins de traverse m’a accompagnée avec bonheur pendant une partie du voyage. Merci encore pour ce beau cadeau, merci pour les dédicaces si chaleureuses! Je trouve que la nouvelle version des Marcheurs est très réussie, tu lui as donné davantage de profondeur tout en préservant l’émotion et l’authenticité des personnages. Et je te félicite pour Délit de fuite, que j’ai dévoré avec grand plaisir, c’est formidable cette première incursion dans le polar; est-ce que tu as pris beaucoup de temps à l’écrire? as-tu l’intention de poursuivre dans cette veine? Tu sais, j’ai prêté Délit de fuite à Denise et elle l’a beaucoup aimé; elle m’a dit qu’elle l’a lu d’une traite, tellement elle était prise par l’action et par ton style. Je vais d’ailleurs passer une commande de quelques ouvrages sur ton site, pour que je puisse en faire cadeau à des amis! Je te souhaite une bonne semaine et t’envoie de gros bisous. Françoise
 Isabelle Chabanel – 03/02/2017
Hier soir j’ai terminé ton roman “Délit de fuite” que j’ai trouvé très bien dans son intrigue et son déroulement. Il sonne juste dans ses dialogues et l’histoire se tient bien.  J’ai eu beaucoup de plaisir à le lire. Bravo. je l’ai préféré au précédent. Affectueusement Isabelle
 Daniel Fattore – 16/01/2017
 Délit de fuite – Extrait billet Daniel Fattore – Lire le billet Accident ou meurtre? Catherine Gaillard-Sarron ose le roman policier “C’est un fait divers qui constitue le nœud de l’intrigue de “Délit de fuite“: une voiture fonce sur une personne qui traverse la route, celle-ci meurt. Accident? Cela aurait pu se passer ainsi. Mais Annie Belmont, témoin oculaire, vient faire une déposition qui sème le trouble et s’avère cruciale pour l’enquête. Il y a anguille sous roche… et autour du commissaire Henry Baud, les policiers explorent toutes les pistes. L’auteure construit avec Henry Baud un personnage à la fois discret et attachant: on le voit œuvrer avec méthode, de façon bien carrée, et coacher son escouade d’inspecteurs en les priant à plus d’une reprise de ne pas prendre d’initiatives. En contrepoint, l’auteure sait réserver des plages de légèreté autour de ce bonhomme: celui-ci a une copine, une vraie complice, qu’il rencontre selon un rituel précis (deux jours par semaine seulement). Le lecteur goûtera les dialogues piquants qui s’installent entre les deux amants! ” Billets et chroniques Daniel Fattore
Jean-Charles Monzani – 07/01/17
Chère Agatha, Moi aussi j’ai lu ton dernier opus “Délit de fuite“, et j’ai marché. « Le marché aux puces » en quelque sorte. ;-). Il se lit rapidement… du moins, quand on le commence, on ne le lâche pas facilement. Il m’a fallu du temps avant de trouver l’assassin, c’est bon signe, car en général je le découvre assez rapidement, et quand ma supposition se révèle inexacte, je me dis que l’auteur aurait dû se fier à mon flair de fin limier. Une morte, mais pas de temps mort. Un côté “série noire” avec sa scène polissonne autour d’un siphon hypothétique au cœur de l’ouvrage pour faire monter la sauce. Si Menon n’était pas mort, il devrait bien se tenir. J’appose la mention « lu et approuvé ». Une belle épéclée pour ton roman avec quelques expressions suisses pour faire couleur locale, on s’y croirait. Et comme dirait Nicole : « J’ai été déçue en bien »… bien qu’elle emploie l’expression dans le sens « ça m’a plu », alors que le véritable sens est « Satisfait contre toute attente ». Gros bisous et tout de bon. Giancarlo
 Nicole Monzani – 03/01/17
 Avec Délit de fuite, le nouvel ouvrage de Catherine Gaillard-Sarron, l’auteure prouve qu’elle sait investir l’espace littéraire de l’intrigue policière. L’enquête, menée à la manière d’un jeu de construction avec suspects, fausses pistes et rebondissements est servie par une écriture précise et épurée, un rythme se dégage qui entraîne le lecteur jusqu’au dénouement. La mort d’un animal peut faire basculer une vie, prouvant que les voies du chagrin son impénétrables… Un livre dont le plaisir est tel qu’on ne le lâche pas! Nicole Monzani

Commentaires 2016

 Christian Campiche – 27/12/2016

Nu comme un ver, l’inspecteur ouvrit le journal sur la table de la cuisine – Extrait du deuxième roman de Catherine Gaillard-Sarron Délit de fuite” est le deuxième roman de Catherine Gaillard-Sarron. Cette fois la poétesse et écrivaine franco-vaudoise ne met pas en scène un crime parfait mais un meurtre presque parfait. L’inspecteur Henry Baud parviendra-t-il à résoudre l’énigme? Réd. Christian Campiche La Méduse.ch

François Gachoud – 12/12/2016

Je recommande vivement la découverte et la lecture des œuvres de Catherine. Elle est avant tout une observatrice rare non seulement des comportements humains en lesquels nous nous reconnaissons, mais aussi une poétesse et une conteuse qui excelle dans la composition de ses recueils en vers et, pour ce qui est des contes, des nouvelles, une analyste profonde du cœur humain en ses dimensions sensibles, affectives et surtout spirituelles. Son recueil paru en avril 2016 Sous le titre “CHEMINS DE TRAVERSE” est à mon sens une réussite unique: ses descriptions et méditations sur le temps, sur l’amour, sur la mort, sur le rôle central du féminin donateur de vie, sur notre aspiration à la présence de l’Esprit sont des modèles d’écriture et de sagesse à relire et méditer à notre tour. François

Marianne Charlotte Mylonas-Svikovski – 05/12/16

Chère Catherine, J’ai trouvé ton livre Allons voir si la rose excellent et je comprends qu’il est pressenti pour le succès. C’est bien ficelé et rondement mené jusqu’à la fin inattendue. J’ai beaucoup aimé la critique féroce de notre société qui ajoute du sérieux à l’histoire “mine de rien”, comme on dit. Tu devrais continuer dans la même veine afin de te créer un public petit à petit, comme tu l’as déjà pour la poésie, mais plus large, ce que permet le roman. Je te souhaite de tout cœur plein succès! Et me réjouis de découvrir ton prochain livre Marlo

Marie Brulhart – 19/11/2016

Le premier roman de Cahterine Gaillard-Sarron, Allons voir si la rose… est très bien construit, sur neuf jours.  C’est un récit dramatique magnifiquement mené par une plume alerte, utilisant un réseau lexical très riche et plein d’humour. La conclusion reflète bien ces qualités : Ulrich Stramer, le cultivateur de roses “était probablement le seul à avoir toujours été au parfum…”. Marie Bruhlart

Josiane Meyer – 2/11/2016

J’invite vivement mon entourage à lire les ouvrages ou à écouter les poèmes de Catherine Gaillard-Sarron, sa voix est mélodieuse, sa plume est harmonieuse et nous invite à visiter un monde de richesses intérieures reflétant les thèmes de la vie dont nous sommes tous témoins. Sa beauté en tant que femme révèle l’élégance de son âme animée par sa flamme intérieure pour exprimer la fragrance des mots dont elle seule a l’alchimie de les assembler pour nous procurer la juste émotion. C’est une belle personne et je suis ravie de la connaître. Je lui souhaite plein succès personnel et professionnel. Au plaisir d’une prochaine rencontre, d’une prochaine lecture. Josiane

 Christian Campiche – 30/06/2016

Allons voir si la rose… Les lectures de la Méduse – « Allons voir si la Rose », le crime parfait mis en scène par Catherine Gaillard-Sarron Dans son roman « Allons voir si la Rose », la romancière vaudoise Catherine Gaillard Sarron met en scène un crime parfait. Un drame de la petite bourgeoisie qui n’exclut pas des touches d’humour pince-sans-rire. Ainsi qu’une vision critique de l’environnement médiatique, comme l’atteste cet extrait que nous publions. Réd. Lire l’extrait sur la Méduse.ch

 Daniel Fattore – 22/06/2016

Chemins de traverse Extrait billet Daniel Fattore Lire le billet Chemins et philosophies avec Catherine Gaillard-Sarron “Provocants ou méditatifs, les textes de “Chemins de traverse” s’avèrent de bons points de départ pour des réflexions personnelles, tournant autour de thèmes qui concernent chaque lecteur. L’auteure offre ses pistes de réflexion, ses éléments de réponse, dans une écriture abordable qui ne perd pas le contact avec le concret, puisqu’il met à chaque fois en scène des personnages humains ordinaires comme point de départ. Cela, au gré d’un recueil bien construit: si la dernière nouvelle s’intitule “Le bout du chemin” et suggère la fin de vie, ce n’est pas tout à fait un hasard…” Daniel Fattore – Billets

Elena Vlaicu – 17/06/2016

Allons voir si la rose… Coucou Catherine, ça fait un moment que j’ai fini ton livre et, je n’ai pas réussi à t’écrire plus tôt… J’ai adoré, tu as beaucoup d’humour ! j’ai beaucoup ri ! et je l’ai prêté à deux copines de randonnée et, elles aussi ont aimé ton style ! Félicitations ! il faut continuer ! grosses bises, amitiés Elena

 

Jean-Marie Leclercq – 7/6/2016

Allons voir si la rose… « Nos destinées de voisinage sont-elles libres? De quel poids pèsent les hostilités, les convictions, les valeurs pour faire planer la discorde entre les individus lorsque la vengeance donne lieu à une imagination morbide ? Catherine Gaillard Sarron observe le stupéfiant voyage du couple Denise/ Félix, ses ravissements et ses dépressions, ses défenses et ses décompositions. Elle retrouve les mots des conspirations de Ulrich et ceux de la querelle avec des congénères ! Sans fard ni complaisance, Catherine excelle à créer des atmosphères pleines de tourments et de questions insidieuses qui peuplent nos vies si ordinaires. Jean-Marie Leclercq

Marianne Pichon – 27/04/2016

Chère Catherine, Pardonnez-moi cette familiarité mais après avoir lu “Allons voir si la rose“, je me la permets. J’en ai écouté un extrait lu par vous lors d’une soirée à Ouchy il y a peu. Ma voisine Anna, comme moi séduite, a acheté le livre et vous le lui avez dédicacé. Anna est une voisine “famille”, pas comme ceux décrits dans votre livre. Elle me l’a prêté et et je l’ai lu avec une profonde délectation il y a deux jours lorsque j’ai pris le temps pour ce faire. Nous avons de bons rapports de voisinage et jardinage qui équilibrent je l’espère les horreurs décrites dans “Allons voir ….” Je me suis délectée de “Allons voir …” . Dans les lignes, entre les lignes et par delà les lignes, j’ai ri de votre façon de conter des histoires à pleurer de l’histoire de la bêtise et de l’ignorance humaines. Pas trop aimé le sacrifice du chat, racheté par celui de tout le monde, qui m’a évoqué Giono raconté par sa fille Aline qui, lorsqu’on l’embêtait un peu trop en famille parce qu’il tuait trop de gens dans ses livres, en rajoutait en disant sombrement à sa femme et à ses filles avant de monter écrire dans son bureau : *Puisque c’est comme ça, ce soir je vais en tuer cinq” (citation de mémoire approximative). Pensé aussi à Amélie Nothomb qui dans je ne sais plus lequel, dit qu'”on devrait parler de dévoisineurs comme on parle de dératiseurs”. Là je ne mets franchement pas de guillemets tellement je n’arrive pas à ré-écrire, de mémoire, sa propre phrase. Vous, Catherine, vous dératisez large, et j’admire. Ma phrase  est que vous êtes la championne olympique des “dévoisineurs” et dératiseurs tous azimuts, tant votre livre m’a ouvert d’horizons que je ne connais que trop hélas – sur tant de sortes de “voisins” et autres rats (pardon la gent animale), et me les a ouverts avec votre sourire mitigé et votre rire profond digne de Rabelais, le vrai, le propre, dans tout le sens du terme, de l’homme. Mais voilà : je voudrais vous demander deux livres, deux “Allons voir ….”. Mais je suis un vieux (normal) dinosaure qui ne s’est pas débrouillé pour naviguer sur la commande sur site,  et surtout je voulais vous faire une demande directe. L’un des “Allons voir … ” est pour moi bien sûr, car je n’ai pas encore tout déchiffré, mais l’autre est tout à fait une urgence médicale : Il s’agit d’une amie proche en perdition totale dans le canton de Berne. Il y a urgence pour une sombre histoire de noisettes sans papiers, frontalières pour ainsi dire dans une haie dite “protégée”, avec des prolongations de laurelles plantées sur des frontières floues sur lesquelles ni la commune ni l’urbanisme cantonal fédéral, planétaire, voire cosmique, ne s’accordent – ni les frontaliers, les voisins que cette haie sépare momentanément, avec un risque de mort sur une cabane de jardin et deux honorables composts, ni le reste. Laquelle amie souffre le martyre obnubilé propre à ce genre d’affaire, que je tente de lui adoucir par de pieux et objectifs conseils mais il me semble devoir faire appel pour cela à votre expertise, si artistement synthétisée dans “Allons voir ….”. Tant pour le rire que pour la sagacité avec lesquels vous démontez les machines infernales tueuses d’innocentes cabanes de jardin. Comment faire d’un cauchemar une histoire qui fait rire, c’est tout l’art du transformateur, c’est le vôtre et je veux le faire partager à des amis en plein cauchemar – qui n’en vaut pas la peine mais pour écrire ce que vous avez écrit, pour transformer ainsi un mauvais rêve, il faut de la force, de la lucidité, de l’incisivité et un talent que j’admire et dont je souhaite qu’il donne de la force à ceux que j’aime (y compris moi-même) pour émerger du cauchemar. Merci pour ce livre que dont j’ai eu le privilège de vous entendre lire des passages au CPO d’Ouchy, de lire sur papier l’intégralité grâce à une “vraie” voisine, que je souhaite faire connaître à ceux qui ont besoin maintenant et à ceux qui croient ne pas en avoir besoin, merci pour vos autres livres que je découvrirai, pour votre site, pour ce que vous êtes et écrivez et écrirez. Et … je n’en rajoute pas, vous avez m’avez touchée jusqu’au bout des neurones du cœur et de cela, merci. Bien à vous, Merci encore, Marianne Pichon

Christian Campiche – 25/04/16

Chère Catherine, J’ai lu d’une traite hier « Allons voir si la Rose… ». Je n’ai pas pu lâcher le livre avant de l’avoir terminé… Une terrifiante fresque humaine, un crime parfait, finalement. Quel talent de mise en scène! Et ces petites touches d’humour pince-sans-rire. Je publierais bien deux ou trois bonnes pages sur la Méduse, si tu es d’accord et pour autant que tu m’envoies un copié-collé du texte, dans la mesure du possible. Ce passage, par exemple, est complètement dans la ligne du journal: pages 23 “Pour Ulrich…” à  26 « …dindons de la farce”. Amitiés Christian Lire l’extrait sur la Méduse.ch

Marie-Françoise Messerli – 05/01/16

Bonjour, Merci pour vos vœux. Que cette nouvelle année vous apporte toujours autant d’imagination et que les mots dansent sans discontinuer sur chaque page que nos yeux parcourent avec frénésie, impatience et délectation ! J’ai « dévoré » les livres que je vous avais commandés et j’ai trouvé dans votre plume tout ce que j’aime en littérature : le vocabulaire, le suspens, la poésie, la douceur, l’aventure et surtout l’imagination des situations et des chutes ! Bref, une belle découverte littéraire. Pour 2016, plein de souhaits fous à consommer sans modération ! Au plaisir d’une prochaine lecture ou d’une rencontre ! Bien amicalement, Marie-Françoise Messerli

 

Commentaires 2015

Éliane  Prod’hom – 25/12/2015
Joyeuses fêtes à vous aussi.  Ces quelques mots pour vous dire combien j’apprécie toujours votre CD “La musique des mots”. Quand j’ai des insomnies et que je suis souffrante, c’est le meilleur remède… Le son des voix agit comme une berceuse et le sens des mots est très suggestif et apaisant pour moi. Amicales pensées Éliane Prod’hom
Marylène Rittiner – 14/12/2015
Bonsoir Catherine, Il y a quelque temps, en septembre, plus précisément lors du vernissage de l’ouvrage “Le vœu de Puceron” d’Anne-Catherine, nous avons fait connaissance. Puis durant la soirée raclette qui a suivi, tu m’as parlé de ton roman. Anne-Catherine me l’a conseillé et j’ai donc lu avec plaisir  “Allons voir si la rose…” et apprécié ton imagination. Le style quelque peu grinçant, les surnoms qualifiant à la perfection certains “zéros”, les noms déformés, genre “Kate Moche” ou “Claudia Chiffon”, tout cela donne à ton récit un ton particulier qui m’a poussée en avant. En général, lorsque je lis un roman, il y a toujours au moins un personnage que je préfère. Pour ses qualités enrichissantes, ses habitudes sympathiques, parfois aussi pour ses travers qui nous rappellent que personne n’est parfait mais que l’on peut s’améliorer. Mais là, dans ton histoire, je n’ai trouvé personne à qui m’attacher. Ulrich, sordide, vengeur,  machiavélique. Félix, soumis, résigné, fataliste. Denise, méchante, nocive, castratrice. Cependant, dans ton résumé, tu le dis bien, “les protagonistes sont délibérément caricaturaux”. Donc, pas étonnant de retrouver dans tes personnages autant de défauts tenaces. Tu as réussi à me tenir en haleine  jusqu’à la fin malgré cette guerre permanente. Je suis par contre un peu déçue de la fin, comme je l’ai été dans le film”La guerre des Rose”. Pour qui aime les tragédies et les fins dramatiques, ce roman est une pure merveille du genre. Je te souhaite plein succès pour la suite et au plaisir de te rencontrer à nouveau. Meilleures salutations. Marylène R.
Jacqueline Juillet – 08/12/2015
Coucou Catherine, Un grand merci pour La Rose… que j’ai dévoré très vite parce qu’on est pris dans ce tourbillon cocasse de mésententes entre voisins…et ce beau Félix qui trône là au milieu. Même si les situations sont amplifiées et les personnages caricaturaux.. ça m’a beaucoup plu. Il n’y a pas de piste que j’aurais voulu que tu explores plus, mais par contre une suite me paraîtrait possible…je m’attendais à une histoire d’amour peut-être ?…à toi de voir hé hé… sacré Stramer…Bonne chance pour la suite et encore un grand merci ! Gros bisous Jacqueline
Daniel Fattore – 24/11/2015
Allons voir si la rose…- Extrait billet Daniel Fattore – Lire le billet “Divertir? Certes, le propos est grave puisqu’il est question d’une hostilité entre voisins, qui se développe en un crescendo rapide à l’apothéose bien campée quoique tragique. Les situations sont caricaturales, le lecteur le comprend en côtoyant des personnages tels que l’auteure sait les construire. L’onomastique, cela dit, s’avère amusante: les personnages portent des noms évocateurs et, surtout, certains mots et marques actuels, suisses à l’occasion, sont travestis afin de leur donner un côté ridicule auquel tout le monde a pensé un jour ou l’autre. Le début paraîtra certes peu percutant au lecteur, l’auteur ayant choisi d’installer doucement son intrigue en présentant le personnage de Stramer. Mais il sera utile d’aller au-delà de cette impression pour arriver à un final bien éclatant, mené tambour battant, qui amène son lot de morts pleins de caractère au terme d’un ouvrage qui sait se faire à la fois cocasse, piquant et intelligent: si l’on sourit à certaines outrances, on se surprend aussi à réfléchir ou à s’interroger au détour d’une phrase, d’une page de ce livre aux allures de faux journal.” Daniel Fattore – Billet
Mado Gonin – 21/11/2015
Allons voir si la rose… Un grand merci pour cette fleur mystérieuse dont le parfum m’a captivée jusqu’à ses dernière effluves… Bisous Mado
Jean-Martin Tchapchet – 25/10/2015
Chère Catherine, J’ai lu ˝Allons voir si la rose˝ avec beaucoup de plaisir et de concentration. Pour un premier roman, c’est un chef d’œuvre. Avec beaucoup de softness, tes quatre personnages dont Arthur le chat, vivent l’intrigue avec beaucoup de naturel et arrivent à refléter les comportements et les sentiments des humains dans la diversité de leurs  manifestations : amour, violence, jalousie, couple, lâcheté, cruauté, etc.Ayant lu beaucoup de tes poèmes et aussi eu des échanges avec toi, puis-je dire que ˝Allons voir si la rose …˝ est quelque part un ˝Manifeste˝ ? Ton manifeste ? Je suggère que tu poursuives son écriture dans une série. Très amicalement. J.-M. T.
Jacqueline Thévoz – 22/10/2015
Allons voir si la rose… “Une merveille ce nouvel ouvrage de Catherine Gaillard-Sarron, et une charmante édition de ce roman passionnant et si bien écrit, avec personnages superbement campés et un sujet en or. Rue de la Concorde se côtoient, non sans frictions, des êtres hauts en couleurs : un retraité cultivateur de roses, une habituée des concours de beauté pour chats, qui, ayant déjà asservi son époux, déclenche une guerre de quartiers…Mais l’on n’en dira pas plus : je vous laisse le plaisir – qui sera grand ! – de la découverte du… pot aux roses…” Bien amicalement Jacqueline
Edgar et Anny Blasi – 06/10/2015
Nous tenons à vous remercier encore pour l’envoi de votre recueil dont la lecture nous a apporté tant de plaisir. Chaque nouvelle nous a tenus en haleine jusqu’au bout et nous a permis d’apprécier une écriture vivante et réaliste. Encore un grand merci pour ces agréables moments de lecture et peut-être à bientôt. Bien amicalement à vous et votre mari Edgar et Anny PS  Faites nous savoir quand votre livre Allons voir si la rose sortira pour que nous puissions en faire commande.
Nicole Monzani – 23/08/2015
Allons voir si la rose… Et voilà Et voilà je connais enfin la fin de l’énigme…. L’histoire est bien menée, je dirais bien enlevée et  agréable à lire. J’ai beaucoup apprécié les passages qui analysent les caractères humains à travers les attitudes, le regard que tu poses sur tes semblables, aussi la description de tout ce qui dérape très vite dans notre monde contemporain, travers dont nous sommes si proches !!! Tu explores les failles avec un subtil mélange d’espièglerie et de jubilation, ce qui rend le recueil joyeusement féroce ! Bisous Nicole

Commentaires 2014

Jacqueline Thévoz – 18/11/2014

Catherine Gaillard-Sarron excelle dans le genre de la nouvelle. Elle m’a toujours sidérée, car c’est une nouvelliste hors pair. “Elle a un regard qui vous transperce”. On est émerveillé par sa créativité, son inventivité, son inspiration, son imagination, la peinture si réussie qu’elle nous fait des êtres dans leur extrême, avec une connaissance peu commune de l’humain dans ses excès, dans sa férocité autant que dans sa bonté. Elle est, en quelque sorte, notre Balzac moderne et finira sûrement romancière.

Jacqueline Thévoz

Nicole Monzani – 17/11/2014

Bonjour Catherine, j’ai beaucoup apprécié “La fenêtre aux alouettes”. Dans la préface, Jacqueline a bien décrit ton talent d’écrivaine. Le style est agréable, riche en vocabulaire sans être truffé de mots savants. Ton inspiration met en scène des personnages aux caractères bien décrits, même si certains thèmes sont assez cruels. Très belles descriptions des paysages et ambiances. Vraiment une lecture fluide, plaisante de la première à la dernière ligne. J’espère que le succès sera au rendez-vous au regard de toute l’énergie et du plaisir investis dans ton projet. Plein de bonnes choses à toi.

Nicole

Webliterra – Anne-Catherine Biner – 10/11/2014 lien site
“Catherine nous invite à découvrir son dernier recueil de poèmes, “La Terre de l’Aimé”, poèmes dédiés à l’amour. L’amour est présenté comme le plus beau des voyages. Il chemine dans la profondeur des coeurs et plus précisément dans celui de l’auteure avec “des parfums de bonheur, des bulles, de la tendresse, de la musique et du plaisir”. Ceux qui s’aiment se retrouveront dans ces magnifiques poèmes et, pour ceux qui ont oublié ce qu’est l’amour, cet ouvrage leur donne l’occasion d’y replonger d’y retrouver des forces.” Anne-catherine Biner
Jean-Martin Tchapchet – 03/11/2014

J’ai écouté avec plaisir la lecture de “L’arbre”. Carine Delfini sait s’y prendre sans être dérangée par la musique de fond. Tu as une imagination créatrice très riche et pas du tout ordinaire. Tu donnes à ta nouvelle une action et des acteurs extraordinaires et cohérents. Jusqu’à la mort d’Émile avec ces radicelles qui poussent sur son corps abandonne. Félicitations.

Jean-Martin

Jean-Marie Leclercq – 16/10/2014

Bonjour Catherine Gaillard-Sarron, J’ai lu en totalité votre remarquable recueil : LA TERRE de L’AIME. Aucun titre ne pouvait mieux traduire l’âme de ce recueil, ni en suggérer l’originale beauté. Je dirai simplement ici qu’elle est un exemple vivant du degré de perfection auquel vous avez pu aboutir par la plume après un long travail sur le style autant que sur la pensée poétique. Et en ce sens vous représentez avec votre flamme pour votre aimé et mari, le plus bel exemple qu’il soit possible de citer à ceux qui prétendent que tout a été dit dans le genre de la poésie amoureuse… J’espère que vos lecteurs ont apprécié, avec quelle musique, avec quelle force le vers traditionnel fait ressortir l’âme passionnée de vous-même. Voilà de beaux poèmes que nous offre un Poète vrai: une belle écriture, une inspiration élevée, une poésie comme j’aime en lire et de plus en plus rare malheureusement. Je me suis fait prendre presque à mon insu par une poésie à la fois intimiste et généreuse. Ce n’est que le recueil une fois terminé, que l’on prend conscience du charme dans lequel on s’est laissé emporter.Un recueil à lire et à relire, comme un viatique. Je crois que dans le poème : L’ELU page 20 votre secret est totalement révélé pour l’homme de votre vie. Le titre du poème à lui seul porte dans ses vers toute votre ferveur et votre amour pour votre mari, ” votre oiseau d’or vers son perchoir d’étoiles “, diamant de vos années pour consteller le blanc de votre papier! Ce sont ces mystères-là qui font le charme de votre poésie avec ou sans rime, avec les mots de votre cœur comme étant les plus sûrs secrétaires. Avec tous mes compliments et mon respect pour votre imagination peu commune.

Jean-Marie Leclercq

Madie Mognetti – 23/06/2014

Chère Catherine, Je n’ai que trop tardé pour te remercier de m’avoir offert ton dernier recueil de poèmes. Quel joli titre déjà et quelle touchante photo en quatrième de couverture. Quelle belle histoire que la vôtre! Mais rien n’arrive par hasard. Il faut, certes, beaucoup d’amour pour qu’un couple soit réussi mais cela ne saurait suffire pour qu’il traverse les années sans dommage. Il faut de l’énergie, de la générosité et peut-être tout simplement… en fait pas si simple! du talent. J’aime bien cette définition de l’amour du philosophe Comte-Sponville dont je suis une fervente lectrice:”Je t’aime: j’ai besoin de toi et de ton amour, de ton corps et de ton sourire, de ton regard et de ta paix. Pour être heureux? Oui, quand c’est possible. Et pour supporter de ne l’être pas, quand le bonheur fait défaut.” J’ai retrouvé avec plaisir certains textes qui figuraient dans “Mon plus beau voyage” et “Tremblement de coeur”Mais tu ne cesses d’enrichir le thème et les mots glissent dans une fluidité parfaite. Bravo à toi! Toutes mes amitiés à  Claude et à toi. Profitez bien de l’été qui commence et si un jour vous passez par Chambéry, faites-moi signe. Bien amicalement,

Madie

Éliane Prod’hom – 20/06/2014

Merci, Catherine, pour votre CD “La Musique des mots” qui m’enchante. Les paroles sont magnifiques, la musique sublime, leur ensemble, extraordinairement harmonieux… Avec mes salutations enthousiastes.

Éliane

Danielle Berrut-Dubosson – 06/06/2014

Merci, Catherine, pour votre message si encourageant. C’est vrai que Champoussin était le lieu idéal pour lire mes nouvelles, car elles se situent toutes dans le Val d’Illiez. J’ai aussi lu avec plaisir votre Fauteuil pour trois. J’étais très curieuse de découvrir vos nouvelles après avoir entendu votre lecture si sensible à St-Pierre. Je n’ai pas été déçue. Un récit concentré, un style clair, une chute surprenante et l’art de dévoiler nos peurs profondes, car on sent chaque fois que le sentier ne sera pas uniquement bordé de belles fleurs des champs. Je me suis un peu retrouvée dans des nouvelles comme L’Arbre ou l’Odeur. A vous aussi, plein succès pour la poursuite de votre passion et au plaisir de vous revoir bientôt, je l’espère.

Danielle

Jacqueline Thévoz – 23/05/2014   

Félicitations, chère Catherine, Vous méritez de figurer dans le Guiness des Records avec vos cent poèmes d’amour à un mari ! C’est unique ! Et ces poèmes sont tous beaux et mélodieux ! Même le coeur de la première de  couverture est à la fois beau, sensuel, érotique, voluptueux et très humain (la chair, l’alliance, le bijou, les rides) Vous êtes vraiment très douée, et votre poésie, toujours musicale et inspirée, somptueuse, parfois quasi divine (même si, pour ma part, je n’ai jamais accepté le mélange des syllabes muettes et des autres, surtout dans les alexandrins) nous console des sèches élucubrations contemporaines. Bravissimo et merci de tout coeur pour ce si merveilleux cadeau et votre si gentil message !

Jacqueline

Isabelle Chabanel – 17/05/2014

Chère Catherine, J’ai achevé hier la lecture de ton dernier recueil. Je l’ai lu avec grand plaisir et souvent émotion. Certains textes me touchent particulièrement soit par la forme et/ou le contenu. Écrire une centaine de poèmes tournant autour du couple, (le tien) est une performance. Si c’est parfois répétitif un souffle certain court du début à la fin et soutient tout le recueil. J’aime aussi ta sincérité quand tout n’est pas tout rose. Je t’envoie mon amitié et au plaisir de notre futur partage et collaboration.

Isabelle

Mado Gonin – 13/01/2014

Je ne suis pas vraiment habituée à lire ou écouter la poésie… mais par une soirée de janvier, éclairée aux bougies, je me suis installée sur le canapé et j’ai laissé sonner les mots dans ma tête, dans mon esprit et dans mon cœur. Ça m’a réappris à mettre des images sur les mots, ce que je pense avoir un peu perdu avec le temps et les overdoses d’images télévisées. C’est un exercice qui m’a beaucoup plu et j’ai redécouvert un plaisir enfoui bien au fond de moi. Un grand merci Catherine. J’ai beaucoup apprécié Plages de mai (nostalgiques), comme Plages de septembre, Ventres-à-l’air, très drôle, Comment dire (magnifique! peut-être mon préféré …), Un petit bout de monde, Coureur de coeur, Même si, pour n’en citer que quelques uns. A réécouter encore…

Mado

Claudio Draglia – 03/01/2014

J’admire et je trouve fantastique ta capacité à faire voir, sentir, ressentir, vivre des émotions très intenses en 3 ou 4 pages. C’est impressionnant ! A plusieurs reprises l’émotion prend le dessus et la justesse de l’observation et de l’analyse provoquent des larmes. C’est tellement juste, vrai, réel ! Pour quelle raison personne ne réagit? C’est réellement du talent!

Claudio

 

Isabelle Chabanel – 15/06/2015
Merci chère Catherine, « C’est sympa à mon retour de vacances de trouver ces photos souvenirs. L’ambiance, avec tous tes amis sous l’arbre accueillant, respire l’été et la convivialité. Et j’ai encore sur la langue certaines saveurs de ton généreux buffet. Merci à toi et à Claude qui savez créer ces moments à la fois culturels et amicaux. Qui se répètent avec bonheur grâce à ta veine créatrice et à tes initiatives. A tous deux, je souhaite également un bel été, dans la joie et la grâce d’être ensemble, chez vous et en divers lieux. Avec  affection » Isabelle
Edgar Blasi – 12/06/2015
 Bonjour Quel merveilleux poème!  Ce vaisseau immobile… Avec mon épouse, nous avons beaucoup apprécié ses mots, ses rimes et ses idées qui coulent plein de fluidité comme l’eau de source ; on est transporté dans un milieu où la frontière entre la fiction et le réel est bien mince. Donc, un poème très agréable à lire et à relire. Nous tenons à vous remercier beaucoup d’avoir pensé à nous, ainsi que de toute votre gentillesse. Toutes nos salutations amicales Edgar
Marie-José Boularan  – 11/06/2015
Bonjour, j’ai assisté à la soirée poésie à la salle Pétrarque en Mai où vous nous avez présenté vos poèmes que j’ai beaucoup aimés. Je n’ai pu rester jusqu’à la fin car il était tard, je n’ai pas  parlé avec vous et le regrette. Pouvez-vous me dire comment je peux me procurer ces poèmes que j’aimerai relire. Et pouvez-vous me prévenir quand vous revenez dans notre région pour que je puisse de nouveau vous écouter (oralement c’est encore mieux). Merci d’avance de me donner ces renseignements. Je vous souhaite un bon été poétique.
Jean-Marie Leclercq – 11/06/2015
Bonjour Catherine, « Tous mes compliments pour toute ton activité, tes recueils et ton interactivité. En te lisant tout est gratifiant et tellement remarquable. Je remercie la vie qui m’a mis en contact avec toi et surtout avec toute ta ferveur poétique sans oublier ta générosité au contact des autres. Sans doute un grand moment de bonheur ” d’être” que fut le 6 juin. Tu as confié ta vie à ton œuvre, secret lié de toute façon ” au monstre intime”, à la profondeur insondable que tu es. Ta poésie nous enseigne à contenir nos doutes jusqu’à les réfléchir dans tes interventions qui, sans les dénaturer, les consomme et les consume dans le feu des figures, pour le subtil et caressant dialogue tout feu tout flamme. Tes traces, oui, toutes tes traces sont belles, ce bouquet indestructible, que nos yeux endormis ramasseront dans les catégories secrètes. C’est ce qui permet d’être au monde dans tout pays. » Jean-Marie
Pascal Neyroud  – 08/06/2015
MERCI, Catherine et Claude, pour cette charmante et conviviale soirée! Sous cet arbre, lors du vernissage de Notre dame Nature, il y avait comme quelque chose de magique – le temps s’est arrêté pendant 1h et c’est tellement bon à vivre! Chantal et moi vous souhaitons un magnifique été! Pascal et Chantal
 Cédrine Hofer – 11/03/2015 
Bonsoir Catherine, Magnifique. Je me balade dans vos pages, sur ce nouveau site qui me ravit. Bravo. Je vous souhaite encore beaucoup de succès. Cédrine Hofer
 Sylvie Percier – 03/03/2015
Bravo Cathy, Félicitations pour ton nouveau site. Je replonge de temps en temps (quand je trouve le temps) dans tes livres et tes poèmes, à chaque fois c’est un voyage, j’ai l’impression d’être avec les personnages de tes livres, de les regarder évoluer. Tu sais nous faire vibrer, créer le suspens et la fin est toujours surprenante. Dans tous tes écrits on se retrouve un peu. Tu peux être fière de toi et du chemin parcouru. Continue sur ce beau chemin que tu as commencé plein de sensibilité et d’amour.Sylvie
Emmanuelle – 03/02/2015 
Bonjour Catherine, Le 30 janvier je terminais mon travail vers 21h30. Le temps de ranger mon bureau, dire au revoir à certains jeunes du Foyer qui n’étaient pas encore dans leur chambre et qui traînaient dans les corridors, je descends calmement à pied mes 3 étages et je rejoins ma voiture.  Je mets le contact et la radio se met à parler automatiquement : elle est toujours allumée. J’entends vaguement ce qui se dit… je n’ai pas envie d’écouter parler… et juste au moment où j’appuie sur le bouton off j’ai entendu … de Catherine Gaillard… je n’ai pas fait tilt tout de suite et j’ai éteint, tout occupée par mon travail… : ce que je n’ai pas eu le temps de faire, ce que je dois reporter au lendemain… Et quelques secondes après… je me répète dans ma tête : Catherine Gaillard, la franc-comtoise… je crois, qu’elle avait rajouté la voix à la radio… et hop, je rallume : mais oui c’est Catherine… Et voilà comment ta nouvelle m’a accompagnée dans la voiture, et ça m’a fait du bien. Je me suis vidée la tête de mes soucis, pensé à autre chose, j’étais avec l’homme au chapeau noir sur le banc à regarder l’horizon. Bravo Catherine et merci pour ce moment magique. Emmanuelle

 

Commentaires 2013

Jacqueline Thévoz – 04/09/2013

Chère Catherine, Il est temps de vous remercier encore du merveilleux cadeau que vous m’avez fait… A vrai dire, la mer m’a toujours passionnée et si je n’avais pas été fille je serais marin ! J’ai donc passé de longs moments sur vos photos de la mer, toutes plus belles les unes que les autres, puis, impatiente de découvrir vos poèmes, je les ai dévorés en une soirée. Vous êtes vraiment très douée et j’ai retrouvé avec joie ces “Plages de mai” et “Grand-mer”, qui m’avaient tant émue à Moudon. Et j’ai “fondu” à la lecture d'”Un petit bout du monde”, qui est un petit chef-d’oeuvre aussi. Mais il y en a tant d’autres qui émeuvent par leur musique et ce que vous exprimez… Tout cela nous change de nos poètes contemporains brumeux, fumeux, abscons, et si peu musiciens… En vous réitérant ma gratitude, je vous adresse mes bien cordiaux messages.

Jacqueline

Ive Favre – 18/06/2013  

“éMERveillé” par ton écriture, elle me parle, à mon âme et à mon coeur. Je la vis intensément. Depuis 13 ans je longe la mer en Lettonie et tes poèmes me sont ce que vis en solitaire. Magnifique langage! Musique admirablement choisie. MERCI. Affectueusement à toi chère Catherine et à Claude.

Ive

Marlo – 07/05/2013

Chère Catherine, J’ai écouté une partie de ton magnifique CD, professionnel!. Il est absolument parfait. L’accord avec la musique en arrière-plan et ta belle voix est parfait. C’est ainsi que l’on interprète la belle poésie française libre qui transmet un grand charme. J’aurais aimé avoir le recueil entre mes mains pour bien suivre les mots. Il faut vraiment se prendre un moment tranquille pour écouter ce que je ne pouvais pas encore aujourd’hui car je ne suis pas encore opérationnelle, encore fatiguée et déjà prise par Aix. Tu verras la différence avec mon DVD, tout à fait différent. C’est là que je me rends compte que je ne suis pas française mais que j’ai un style à moi, personnel, mis à part l’interprétation visuelle tout à fait personnel , un peu théâtrale. Tes poèmes sont très beaux et celui sur les gros sur la plage promenant leurs bedaines est vraiment drôle. Il fallait du courage pour l’écrire! Je me prendrai un moment pour écouter le tout attentivement. Et puis j’aime bien tes pauses tandis que moi j’enchaine les poèmes car ils forment une histoire et non des poèmes séparés tandis que toi, tu suis un thème qui tourne autour de la mer. J’attends tes commentaires tout en te souhaitant une bonne journée demain.

Amitiés Marlo.

Emanuela Mareine 27/04/2013 

Vernissage Filigrane Félicitations pour ton vernissage qui était chaleureux, émouvant et réussi BRAVO ! j’ai relu MIMI à Charlotte et les larmes me sont revenues…

Emanuela

Anonyme – 09/03/2013
J’ai beaucoup aimé votre livre de nouvelles “Des taureaux et des femmes” que j’ai lu particulièrement à une personne âgée qui est dans un EMS. Nouvelles originales et souvent au dénouement inattendu. Petite remarque…. le titre !!!
Isabelle Chabanel – 30/01/2013

Merci  Catherine. Toujours beaucoup de plaisir à lire tes poèmes où ta sensibilité éclate dans la simplicité des mots. Je t’embrasse.

Isabelle

Isabelle Cardys Isely – 29/01/2013
Merci Catherine, ton site est magnifique. J’espère que ton passage à St Pierre de Clages se réalisera selon tes souhaits et je me réjouis de découvrir ce CD dont tu me parles avec tant d’enthousiasme (puis-je te le commander ?). J’en profite aussi, mais je le ferai par écrit aussi, de te remercier chaleureusement de l’envoi de ton recueil de poèmes. J’en suis très touchée. Bien amicalement, Isabelle
Ariane Péclard-Sahli – 28/01/2013
J’écoute et m’émerveille de ta poésie et des accompagnements musicaux. Très beau ! Merci Catherine. Quel talent et quelle sensibilité qui flirte avec l’universalité. J’adore. Je te souhaite ainsi qu’à tes proches une année merveilleuse. Merci ! Au plaisir de te revoir. Ariane
Un homme m………x – 25/01/2013
C’est Catherine qui est importante ainsi que tout ce qu’elle dit ! Un voyage à travers les divers “pays” de son site d’un abord simple et très sympathique nous permet de découvrir… des perles, des bijoux de nouvelles, la puissance des mots et souvent la douceur de ses poèmes, ce coup d’oeil de photographe,et ses talents d’artiste, bref, tous les éléments d’une œuvre splendide qui ne demande qu’à être connue et reconnue. C’est un extraordinaire travail, je suis fier de toi… Claude
Faivre Pascale – 24/01/2013
Je viens de découvrir ton site et je suis complètement émerveillée par autant de travail. Après tant d’années à te chercher, tu as enfin trouver ton chemin….bravo, c’est une magnifique réussite. Il te te reste qu’à continuer sur cette magnifique voie et je sais que les personnes qui te sont proches vont t’y accompagner avec amour Bien affectueusement
 Jo Lamon – 21/01/2013

Bonjour Catherine, Quel beau site ! www.catherine-gaillardsarron.ch est complet, attractif, varié et imagé. Beaucoup de plaisir à le parcourir et surtout à découvrir le riche parcours que tu réalises dans divers domaines. Bravo… et vive la suite ! A bientôt,

Jo Lamon

Anne-Catherine Biner – 21/01/2013
Vernissage CD éMerveillement St-Pierre-de-Clages. “Oui, la compagnie était d’excellente qualité et le final, formidable. Je me souviens trop bien des larmes de Sabine à la fin du récital. Tu l’as prise dans tes bras et cela restera un souvenir des plus forts de la journée. Je me rappelle aussi de la réflexion d’une de mes amies qui était présente. Lorsque je lui ai demandé si cela lui avait plu, elle m’a répondu. « Laisse-moi quelques minutes, je dois atterrir ». Quel voyage !” Très cordialement.
Cédric Jeunot – 21/01/2013 

Vernissage CD éMerveillement St-Pierre-de-Clages. “PS : c’est vrai que les routes étaient dégueulasses samedi soir, et ces bouchons pare chocs contre pare chocs à 30km/h, avec des centimètres de neige au sol…..mais sache que ma route était accompagnée d’éMerveillement, sons de plages, rivages, et une douce voix me narrait ses poèmes au rythme de la houle qui inondait mon auto de toute part; mes pneus étaient sur la neige, mais mes yeux étaient face à la méditerranée, à Frontignan, aux balades du mois de septembre en plein mois de janvier, c’était très agréable d’être ralenti au son de ton cd…. nous en reparlerons !! Bonne continuation à toi et à Claude”

Cédric

François Gachoud – 20/01/2013 
Vernissage CD éMerveillement St-Pierre-de-Clages. Chère madame, sachez que j’ai été enchanté par la lecture de vos poèmes, pour leur délicatesse, leur finesse suggestive et ce rythme si simple admirablement souligné par le choix musical: vous savez exprimer l’intime aux confins de l’indicible et ce travail avec Valdo Sartori est magnifique. J’ai eu l’occasion de le lui dire. J’aurais aimé moi aussi avoir un échange avec vous: nous étions tous deux sollicités au même moment. Bien cordialement, chère Madame, et au plaisir de vous revoir.
Sabine Perrottet – 20/01/2013  

Vernissage CD éMerveillement St-Pierre-de-Clages. Mille merci pour ce bel après-midi chargé en émotions. J’ai écouté deux fois le c.d, et toujours pareil, les émotions qui remontent toutes seules. Quels beaux poèmes, et ta voix qui sublime tout ces mots. Je considère ce c.d comme un véritable bijou. Vraiment ouah, on en reste sans voix. Merci encore, bonne soirée.

Sabine.P

Nathalie Benezech – 19/01/2013
Bon courage à toi pour cette journée qui s’annonce plus difficile que prévue. Comme promis, dès que j’ai un moment je ferais partager à mes amis de facebook le lien vers ton site! biz a tous les 2
Francoise – 19/01/2013
Bravo, Catherine, pour ce nouveau site, très agréable à naviguer. Une belle invitation au voyage! De la part d’une lectrice assidue, Fr.
Benezech Evelyne – 19/01/2013
Je suis impressionnée de tout ce travail et surtout contente car ton site va permettre une plus grande diffusion de toutes tes créations qui sont magnifiques. Je te souhaite la reconnaissance que tu mérites: continue. Une fervente admiratrice E.
Eric – 19/01/2013

Ton site est magnifique, un grand bravo au concepteur ! Comme au photographe qui a fait les photos d’accueil très réussies. Bises.

Eric

Carole Rryder – 19/01/2013
Ton site est très agréable, et assez complet ; il rassemble une production impressionnante, et je vais prendre le temps de les lire en détail. Félicitations tata et continue…. Affectueusement.
Marlo – 19/01/2013

Bonjour Catherine, Je vous félicite de vos nouvelles et belles réalisations. Vous avez un site magnifique que j’ai parcouru attentivement et j’aime beaucoup votre façon de vous présenter et de parler de votre poésie. Effectivement, il faut avoir quelque chose à dire … Le succès ne saurait tarder et je vous le souhaite de tout coeur. Je mesure l’investissement personnel, plaisir mais aussi travail qu’il nécessite. Avec mes meilleurs voeux et cordiales salutations,

Marianne Charlotte Mylonas-Svikovsky

Roseline Charpin – 18/01/2013
Bonsoir Catherine, J’espère que la retraite me permettra de trouver un peu de temps libre pour m’occuper de mes amis. Je te souhaite une belle année artistique pour le plaisir de tous. Je suis toujours membre du jury de Montmélian, mais je n’écris plus, disons que j’ai des idées mais j’ai un blocage dû peut-être à ma super activité professionnelle et personnelle. Je t’admire d’avoir fait le choix de l’écriture à ta vie professionnelle. J’avais pris quelques notes il y a longtemps au sujet de tes écrits que je trouvais de haute qualité. J’essaierais de les retrouver. Bonne continuation dans tes projets. Mes amitiés. Roseline.
Denise André – 18/01/2013
Bonsoir Catherine, Avant d’aller me coucher j’ai saisi l’invitation à faire un petit tour sur ton nouveau site. C’est très sympa et j’ai bien aimé les poèmes “Emerveillement”. Je t’en commande 1 exemplaire. A Claude et à toi mes amitiés et un bel hiver! Je vous embrasse, Denise

Commentaires 2012

Anny– 4 octobre 2012 11:24 Bonjour, Permettez-moi de vous appeler Cathy. Merci pour cet après-midi du 4 Octobre, les Nouvelles et Poèmes que j’ai écouté religieusement me font encore rêver ce matin et j’espère encore d’autres … Je souhaite maintenant pouvoir vous trouver au salon du livre et Librairie spécialisée. Bonnes vacances. Anny Garrigues

Fanny – 15 août 2012 10:01 Bonjour, Hier j’ai entendu à la radio un de vos poème venant du recueil “Mon plus beau voyage”. Je suis évidement tombée amoureuse de ce poème et j’aimerais l’offrir à mon bien aimé. Merci de me dire comment vous acheter ce poème ou le recueil car le lien en ligne sur votre site web ne fonctionne pas. En vous remerciant pour ce beau voyage que vous m’avez permis de vivre et avec mes meilleures salutations, Fanny Perregaux

Christophe– 13 août 2012 11:03 Bonjour, Suite à la lecture de trois “Carnets de Cathy” que m’a glissés dans les mains mon amie, je tiens à vous remercier de coucher ces si jolies pensées sur papier, car elles me (nous) font rêver!J’ai eu une grosse émotion en lisant “Mon plus beau voyage” qui dégage tant d’amour! Je ressens un couple soudé par l’amour et cela donne chaud au coeur. Très étonnant aussi “Le gardien du chemin” et ces photos hallucinantes, ces rochers qui semblent implorer le Ciel… Voilà, c’est un mail spontané pour vous témoigner d’un émoi profond après une lecture. J’ai hâte d’entendre la lecture de ces textes, ce qui va encore donner une autre touche, un autre sentiment… Belle continuation. Christophe

Fabien – 16 juillet 2012 11:48 Bonjour Catherine, Comment allez-vous ? J’étais dans l’assistance ce vendredi à Beausobre. Jean-Paul était un ami de longue date, pour lequel j’ai une immense estime. J’ai vraiment apprécié l’hommage que vous lui avez rendu durant la cérémonie. Je vous souhaite un excellent été. Fabien

Pseudo (pascal) –  04/06/2012 19:59:58 Parti comme un sauvage samedi, je vous re-livre ici mes coordonnées si vs en avez un jour l’emploi et l’envie… Le soleil doré de ce samedi 2 juin passé dans nos chères vignes du Lavaux va rester longtemps imprimé dans mes souvenirs privilégiés. J’aime beaucoup ce que j’ai lu de vous. Amitiés – pascal Pseudo (Voisin du 24) – 24/05/2012 21:44:22 Bonsoir, J’ai beaucoup aimé votre poésie intitulée “Une dernière fois”. Elle est très touchante. A bientôt

Commentaires 2011

Martin 24 mai 2011 at 14:53 Un Fauteuil pour trois, de Catherine Gaillard-Sarron. Un peu effrayant, ce recueil , à croire qu’il a sa place dans cette catégorie « frisson » ! On en frissonne, en effet, de cet arbre incompréhensiblement malveillant, de ce fauteuil criminel. J’aime particulièrement l’histoire d’amour extra-temporelle du banc dans les ruines, ainsi que la promenade fatidique en montagne, sur les traces d’une odeur familière !

Isabelle 23 juin 2011 at 22:16 Des taureaux et des femmes, de Catherine Gaillard-Sarron. Oui, « Le Banquet » vaut le détour ! Ces nouvelles sont surprenantes, parfois terribles, souvent touchantes. On en redemande, elles nous sont si proches et si particulières à la fois.

Marie 23 mai 2011 at 12:13 Des taureaux et des femmes, de Catherine Gaillard-Sarron. J’ai eu la chance de lire ce recueil en primeur et j’en ai aimé un grand nombre de nouvelles. Certaines, comme « Le fantasme du curé » (qui vaut la lecture, ne serait-ce que pour sa chute…) ou « Monsieur Herbert » (ou quand un homme psychorigide pète les plombs!), ne sont pas dénuées d’humour. D’autres, d’un ton beaucoup plus sérieux, comme « Paul et Martha », « La Mimi » ou « Perce-Neige Avril », racontent la revanche des faibles. Mes deux préférés sont « Un mal sain! », l’histoire d’une femme qui fait une marche pour se faire du bien et en tire une leçon personnelle et « Le Banquet » qui parle d’un visiteur de bibliothèque un peu particulier…

Écho de mon amie Françoise – 29 avril 2011 14:24 Au sujet de mon livre “Des taureaux et des femmes” Je te transfère un extrait du message de ma cousine, une lectrice assidue, comme j’ai eu l’occasion de te le dire déjà, n’est-ce pas? (…) Pendant  ton appel je faisais quelques emplettes en ville et j’ai enfin pu acquérir le bouquin de ton amie Catherine Gaillard-Sarron. Je le lis la nuit par petit bouts. J’aime beaucoup ses ambiances  particulières, cocasses et sombres à la fois et l’usage de son vocabulaire riche lequel me force parfois d’utiliser un dico.  Ce que j’aime moins, c’est qu’elle attaque d’entrée un sujet comme la concordance des temps, dont des connaissances linguistiques, ce qui me renvoie à ma douloureuse faiblesse dans ce domaine !!  Aï aï. . . mais tant pis ! (…) Christine

Écho de mon amie Françoise – 4 mars 2011 14:32 Au sujet de mon livre “Des taureaux et des femmes” dans l’émission Entre les lignes sur Espace 2.  ” As-tu écouté l’émission « Entre les lignes » avec ton amie Catherine Gaillard-Sarron? Moi j’ai été conquise autant par l’émission en soi (ce n’est pas mon heure radiophonique, je ne la connaissais donc pas) que par la prestation de Madame Gaillard. A la lecture de l’extrait de la nouvelle « Monsieur Herbert », cocasse et révélateur d’un quotidien plat et stéréotypé, nous ne savions plus s’il fallait rire ou pleurer. Nous avons choisi le rire, se rendant compte cependant que le plus douloureux c’est de se reconnaitre dans certaines situations !!! Demain c’est jour de marché, sacré pour remplir le frigo, et cela me donnera l’occasion de passer chez Payot pour acheter « Des taureaux et des femmes »,  promesse d’une bonne lecture.” Christine

by Souram (22/02/2011) Des taureaux et des femmes, de Catherine Gaillard-Sarron. Des nouvelles, cocasses par moments, comme celle où Monsieur Herbert à la vie ordonnée comme une horloge se voit soudain déstabilisé par le prix de quelques légumes et craque… Il y a de la cruauté çà et là. Catherine Gaillard-Sarron sait jouer sur l’effet de surprise. C’est par moments très sombre. Pas dans chacune des nouvelles, heureusement. Voilà un livre que j’ai plaisir à lire. On ne devine jamais ce qui va arriver.

Raphaël – 10 février 2011 14:22 Bonjour, Suite au bonheur de votre rencontre hier soir au Sycomore, je suis allé visiter votre site web, butinant de poème en poème, de page en page, à l’écoute de “Drôles d’histoires”… J’en sors décidément convaincu par l’oeuvre comme par la personne, et ne remercierai jamais assez votre époux de vous avoir donné la parole ultime qui clôtura la soirée, un joyau. Je vais désormais, patiemment et avec grand plaisir, découvrir plus en profondeur votre progéniture littéraire à la manière dont les abeilles font le miel. Je vous glisse en passant l’adresse de mon site web : http://www.raphael-heyer.eu/ sur lequel je vais ajouter le vôtre dans la section “Liens”. Je vous remercie pour votre attention et vous souhaite une très belle fin d’hiver, en lui confiant l’espoir de vous revoir tantôt.

Bien à vous,

Commentaires 2008-2010

Pseudo rosette_poletti@bluewin.ch – 09/11/2010 16:09:27 Vos poèmes sont magnifiques, j’avais aussi beaucoup apprécié votre petit opuscule. Je vous félicite pour ces beaux textes et bonne route sur le chemin de cette créativité. Amicalement, Rosette Poletti.

Pseudo Emmanuelle – 10/03/2010 11:08:37 Bonjour Catherine, juste quelques mots pour te dire que c’est la 1ère fois que je viens sur ton site. J’ai retrouvé, par hasard, un dépliant que j’avais mis de côté où il était question d’un livre, il y avait ton nom… je m’étais dit que je voulais le commander… et désolée mais je ne l’ai jamais fait. Et puis, ce matin….pourquoi ce matin ? j’ai pensé à toi, j’ai jeté un coup d’oeil. D’abord je suis tombée sur une comédienne qui porte ton nom mais ce n’est pas toi et j’ai insisté… C’est beau Catherine ce que tu écris, j’en suis tout émue. A bientôt j’espère

Pseudo Mathieu  – 06/02/2010 03:15:43 J’aime beaucoup tout tes poèmes , mais j ‘ai eu 1 forte emotion en lisant ” ce que je sais ” tu dis vraiment dans ce poème ce que je pense et tu le dis d une maniere si “brute” et “instinctive” que j’ en arrive a me dire que c’ est l’ un des + beau poéme que j’ ai lu, du haut de mes 28 pages de vie ! bisoux

Pseudo (jacqueline et catherine delsaux) – 26/01/2010 14:42:46 Bonjour cathy !! mathieu nous a fait decouvrir ton site, il est tres interessant et on aime beaucoup tes poeme! mamie t’a envoyé 1 carte pr te remercier de tes bons voeux simone m’a donné ton adresse mais j espere qu’elle ne s’est pas trompée !! J’espere que toute la famille va bien. ce serait bien de rester en contact et de correspondre + souvent ! Nous habitons a Villeneuve d’ascq depuis 2000 ca se passe bien. Que le temps passe vite ! Te souviens-tu des bons moments passés ensemble (st remy de provence entre autres) ?? On pense bien à toi et a tata germaine gros gros bisous a tout le monde ta cousine catherine

Pseudo Marcianne – 13/08/2008 11:28 :02 Je profite de ce message pour te dire que j’ai trouvé tes poèmes merveilleux, ta voix et la musique de fond m’ont clouée dans mon fauteuil. Souvent lorsque j’écoute un CD, je fais autre chose en même temps, (couture ou repassage) mais là, j’ai savouré chaque parole, son… c’est comme boire à une source d’eau cristalline. Je te remercie beaucoup de ces bons moments que je passe à l’écoute de ton CD. D’ailleurs, j’aimerais t’en commander trois, pour offrir à des amis. Dis moi comment je fais.  J’espère que vous allez bien et je vous embrasse tous les deux. A bientôt

Pseudo Danielle – 11/6/2008 23 :10 :05 Je viens vous dire merci pour votre CD. Plus je l’écoute et plus je l’apprécie. Votre façon de dire les textes ainsi que les voix qui les accompagnent m’apporte une incroyable sérénité. Je trouve vos textes magnifiques et votre voix en fait ressortir toute l’intensité. Encore bravo et merci.

Pseudo Mahe – 13/04/2008 10:03:58 Merci pour ton livre tremblement de coeur c’est un bonheur de lire cet hymne d’amour à son conjoint et à la vie. Merci à ta soeur Evelyne qui m’a permis de te rencontrer avant de te lire. Mon fils a eu un cancer et dans tes pages je me suis retrouvée. Tes poésies se lisent comme une musique, elles se fraient un chemin dans nos cœurs. Félicitations pour avoir su traduire au delà des mots ce que nous vivons dans ces moments de désespoir. Je te retrouverai dans un autre livre. Tous mes voeux de réussite.

Pseudo (marie) – 21/03/2008 17:36:05 Je viens me réchauffer le coeur en me plongeant dans cette poésie, si belle et si douce, elle m’envahie d’une incroyable paix et sérénité, telle une goutte d’eau glissant sur une vitre, si limpide mais toutefois si fragile. Continuez cathie à me faire rêver. Marie-paule

Pseudo (Mélisse) – 11/03/2008 21:56:45 Bonsoir, je suis donc venu voir le site. Je me suis servi de votre carte. Poétesse et nouvelliste. Je vais de ce pas marcher dans la pluie, les frémissements des branches et la candeur de l’Absolu. CPG

Roro – 17 février 2008 18:06 Chère Catherine, Je tenais tout d abord a vous remercier pour le bon moment passé chez vous, je me suis régalé. D autre part j ai enfin pris le temps de lire Délit de fuite. Le meilleur moyen de te dire ce que j en ai pensé, c est que, deja, je l ai lu d une seule traite et que c est qu une fois l avoir terminé que je me suis apercu que j étais super en retard au souper où quelques amis m attendaient avec impatience! Bref, je crois qu on peut effectivement le dire: je suis un fan. Par contre tout comme le commissaire Harry Beaud, je suis impatient d arriver à la fin et je suis triste quand j y suis. C est vrai que j aurais eu du plaisir a suivre les personnages un peu plus longtemps. D une part parce que pour que j ai du plaisir a lire quelqu un, il faut que son style d écriture me plaise ( et là c est chose faite) et parce que le choix des personnages et la manière de monter l intrigue me convenait a merveille! Encore merci pour les bons moments passé à te lire! Salutations… Roro

Pseudo (Planète Lilou)– 09/02/2008 20:41:49  Ce soir, je m’offre une petite balade au pays de ton imaginaire. Musique de mots charmeurs qui me font perdre la notion du temps. De page en page, je découvre des paysages qui te ressemblent tant. Toi, mon amie de plume, sache que ta poésie permet l’envol dans d’autres ailleurs et l’oubli de soi. Que du bonheur ! Pseudo (annick cardinaux) – 25/01/2008 19:38:49 Passage comme promis, vos textes sont rafraîchissants et bien à votre image, fort sympathique. Amitiés Annick

Commentaires 2005-2007

Roro – 17 décembre 2007 20:08 Comme promis au marché de Noël, voici un petit mail pour vous transmettre mes impressions sur les nouvelles de “La Lisette, Paul, Martha et les autres…” J ai tout de suite croché dans la lecture, d une part car j ai trouvé votre écriture très agréable et d autre part car j avais l impression de pouvoir mettre le nom d un de mes proches sur presque chacun des personnages. Bien souvent quand je lis, je suis déçu car je découvre la chute longtemps avant la fin du livre et c est avec plaisir que cette fois je me suis fait surprendre sur chaque nouvelle a l exception de Songe d une nuit d été et de Sans sommation où sur ces deux j ai quand même (après bien des efforts d imagination) réussi a deviner la chute. Mon seul bémol est que c est des nouvelles et que j aurais aimé suivre ces personnages un peu plus longtemps. Je vous prie de m éxcuser de ne pas vous écrire un plus long mail, mais je ne suis pas du tout copain avec les claviers d ordinateur. Je vous remercie pour le bon moment que j ai passé a vous lire et vous souhaite de bonnes fêtes de fin d année a vous et a votre famille. Roland

Dominique – 11 décembre 2007 13:15 Chère madame, Quel plaisir de vous lire. J’ai ressenti toute cette sensibilité au travers de votre écrit “Mon plus beau voyage”. Bravo. cordiales salutations Dominique

Annette –   9 décembre 2007 11:11 J’ai refait le parcours du Chemin par le texte et l’image. Quel petit bijou … bravo encore chère Catherine. Les photos aussi sont vraiment exceptionnelles, il faut savoir saisir ces moments lorsqu’ils se présentent à nos yeux. Amitiés, Annette

Pseudo (Karin) – 05/12/2007 20:10:04 Bravo..bravissimo..multa bene..comment décrire..écrire..cette richesse d’âme et d’amie..je reconnais là un grand talent et j’en suis tout pantois (e) je t’envoie un clin d’oeil de Pomy et te souhaite que de belles alternatives pour 2008 bisous et salutations de karin et yves

Pseudo (Claude) – 18/10/2007 14:32:59 Très chère “Puce”, C’est un immense plaisir pour moi de te présenter mes chaleureuses félicitations pour l’obtention de ces magnifiques et mérités prix que tu viens de glaner à Montmélian. Je souhaite très très fort que ces nouvelles consécrations ne soient que les prémices de ton “envol” littéraire. Tu le mérites tant! Bisous chaleureux! Un admirateur et amoureux de cette belle et talentueuse écrivaine. Claude “Français”

Pseudo (Anne) – 17/10/2007 12:50:59 Merci pour vos écrits. Ils font du bien à l’âme. N’arrêtez pas, malgré les claques de la vie, comme vous le dites si bien dans “Aux poètes du monde”. Une amie en écriture.

Sylvie – 14 mai 2007 17:38 Chère Catherine, c’est émerveillée dès l’ouverture de ton site que je t’ écris spontanément….. Sans te connaître j’avais déjà recopié le poème sur Graziella et c’est au Moulin Blanc que nous venons de déjeuner ensemble… Toi, ton  époux, une autre poétesse, et d’autres personnes encore…… Alors après ce moment de partage d’idées où nous étions tous sur la même longueur d’onde avec des personnalités différentes et bien trempées c’est “Grâce à Graziella” que ce moment a pu exister….. Comme tu le dis il faut des artistes et il faut des personnes pour les comprendre, les aimer  et les faire se rencontrer….. pour  raviver sans cesse la flamme de la transmission, de l’amour  de la Vie, de la terre et des Autres….. Oui émerveillée je suis devant ce site, il y a des êtres qui nous rendent meilleurs, des lectures, des oeuvres aussi… et au premier coup d’oeil sans goût de la flatterie mais du fond de coeur ce site sa présentation les couleurs en plus de *sa Consistance* me charme…. Je prendrais de temps à autre un moment pour me promener mais dès maintenant je le cite comme site chéri sans courtoisie juste parce qu’il le mérite….. A très bientôt pour continuer cet échange et pour réécouter le poème accompagné du son harmonique : heureusement tout n’est pas dit  en deux heures : juste le temps de donner envie. Sylvie

Martine – 12 avril 2007 11:11 Chère Madame, Encore une fois, je vous remercie infiniment pour l’envoi de vos textes. Chaque fois que vous m’en envoyez, je ne peux résister au plaisir d’en découvrir un ou deux dans l’immédiat, mais préfère réserver les autres pour les goûter dans un moment de calme. Et j’avoue que j’aime toujours autant la façon que vous avez de mettre en mots apparemment très simples ce que vous vivez au gré de la maladie de votre époux. J’ai toujours apprécié l’art de dire très simplement des choses compliquées ou essentielles et je trouve que vous excellez en la matière. Dans l’attente du plaisir de vous revoir, je vous fais mes amitiés à tous les deux. Martine Rossel

Pseudo (Marie) – 15/03/2007 15:01:29 Quel magnifique site!!Quel plaisir de pouvoir s’évader sur des mots tel un tapis volant, de pouvoir prendre du recul et surtout de pouvoir s’interroger sur l’essentiel de notre vie. J’ai beaucoup aimé “le dernier voyage”, dédié à un papa remplit de modestie, d’humilité avec une pointe d’humour qui lui allait si bien. Surtout Catherine n’arrêtez pas d’écrire, continuez à nous faire rêver par vos nouvelles. Tous ces mots nous réchauffent le coeur !!!!!!!!!!!!!!!! Merci. Marie-Paule. Maiche.

Pseudo (Martine) – 14/02/2007 22:09:10 Je suis enfin venue faire un tour sur ton site : il est superbe! Je te félicite pour tes textes magnifiques. Continue, ton écriture me fait du bien. Biz

Pseudo (Bruno Mercier) – 21/02/2007 11:52:07 Bravo Catherine. Ton site est un refuge d’humanité, un havre de paix, une plage de vie où je viens me reposer un instant, me ressourcer. Je te le dis en toute franchise, c’est bien pour ça que je t’écris sous mon nom et non sous mon pseudo (Yann Brumer), car les commentaires de ton livre d’or méritent mieux que des “pseudos”. Merci pour tes magnifiques poèmes. Le poème dédié à ton papa m’a fait pleuré. Quelle grandeur d’âme ! continue à nous émerveiller. Le petit “new” qui clignote à côté de la fenêtre ouverte dérange ma lecture. Est-ce nécessaire ? bisous. Bruno

Pseudo (océans) – 11/10/2006 13:04:01 Bravo pour vos écrits, c’est magnifique ! Je vous invite à découvrir mon site au http://perso.orange.fr/morceaux.choisis/ A bientôt Hélène

Pseudo (Joël) – 25/09/2006 18:16:06 J’ai vraiment aimé les nouvelles. Je me réserve un temps pour lire la poésie. Parmi les nouvelles, j’ai particulièrement aimé La Lisette. Elle est horrible dans son humour. Mais elle reflète tellement bien ce qu’il est possible de faire d’un être humain quand on le prive d’amour depuis l’enfance. Ce manque d’amour conduit la Lisette à un état de soumission et même de culpabilité de ne pas aimer son bourreau. L’auteur a été assez courageux pour ne pas céder à la tentation facile de faire une fin plaisante ou la Lisette se révolte et se met en colère. Ici on laisse la résilience aux philosophes qui n’ont jamais vécu l’humiliation dans l’enfance et qui ne savent pas de quoi ils parlent. Ici la Lisette s’enfuit pour cacher sa rage et son chagrin. J’imagine qu’elle va revenir et reprendre ses travaux comme avant. Juste un peu plus triste, juste un peu plus fatiguée. Et c’est ça qui la rend vraie pour moi. Qui la fait exister. Et j’ai envie de lui rendre hommage pour rendre hommage à toutes les Lisettes du monde… Merci Catherine.

Marina – 23 septembre 2006 16:56 Ma très chère Cathy, Merci, merci et encore merci! Aujourd’hui samedi 23 septembre, je te remercie infiniment pour ta carte d’anniversaire (merci à Claude bien sûr). Mais, je te remercie encore plus de m’avoir offert un de tes carnets “Mon plus beau voyage”. J’ai consacré mon temps libre de ce samedi à la lecture de ton recueil, il est bouleversant d’amour, d’émotion, d’intensité, d’intimité ; tellement touchant, infini, c’est magnifique. Je trouve difficilement les mots pour t’exprimer justement ce que j’ai resssenti à la lecture de tes poèmes, mes larmes venaient, et se retiraient…C’est un pur instant d’AMOUR. Merci, Marina. Pseudo (Heidi) – 13/09/2006 19:10:59 Enfin avec bien du retard je viens de découvrir ton site ! J’ai été très touchée par certains récits et je t’en félicite bravo et continue je te souhaite plein succès.

Pseudo Patrick – 12/09/2006 16:25:52 bjr collegue incontestablement tu écris bien; bonne musique durcis peut ete un peu des mots mais … à chacun sa voix au fait existe t il en suisse des concours ouverts aux francais? Bien cordialement.

Pseudo (Fille) – 11/09/2006 20:29:42 Hello ! Très beau site dis donc ! ;-p malgré nos collaborations parfois houleuses, je suis contente du résultat et j’espère que ce site portera les fruits de tout ton travail ! “La patience est un arbre dont la racine est amère et le fruit doux” Gros bizoux

Pseudo DEVI – 07/09/2006 00:33:47 J’ai encore dans l’oeil et dans l’oreille, le magnifique poème, scribe d’or et il ne date pas d’hier ! La nouvelle du père Fides a bien mérité son prix. Quant à la Lisette, je la relis régulièrement, la nouvelle parfaite ! Pseudo (Daniel Fattore) – 05/09/2006 17:09:21 De la part d’un auteur moins heureux au concours du Scribe d’Or 2006: félicitations pour le texte qui vous a valu un Scribe d’argent, et bravo pour la distinction! J’ai adoré la chute – même si je me suis bien demandé, en cours de lecture, où ça allait nous mener.

Pseudo (Claude) – 16/08/2006 11:18:27 Quelle merveilleuse impression m’a laissé l’ensemble des textes et superbes poèmes présentés. Courage! la consécration viendra. Une telle maîtrise ne peut rester inconnue!

Jacqueline Fromin –  28/03/2005 15:08:28 Chère Madame, Au nom des “poètes de la Cité” à Genève, je vous renouvelle toutes mes félicitations pour votre participation au concours 2005. Votre nouvelle “La Lisette” avait rallié tous les suffrages du jury pour la qualité de son écriture et l’art consommé avec lequel vous avez su la conduire à sa chute. J’ai parlé le 20 mars d’une nouvelle modèle. Pour moi qui en écris aussi (en plus de la poésie) il s’agissait d’un véritable témoignage de reconnaisssance. Votre poème “La carte de ton visage” en néo-classique a suscité l’émotion bien que le thème en fût plus commun. Je vous ai encouragé à essayer de publier “La Lisette” en l’envoyant à une revue de poésie et de nouvelles. Vous pouvez parfaitment vous prévaloir deu 1er prix que vous avez obenu à notre concours. Pour ma part, je collabore surtout avec des revues françaises (dont je peux vous donner les coordonnées) mais vous devez sûrmeent avoir des adresses en Suisse. Nous espérons de votre part une nouvelle participation au concours 2006 dont vous recevrez le réglment. Il nous tient particulièrement à coeur de fidéliser nos candidats en essayant d’année en année d’améliorer, cette journée de la poésie. Amicales pensées en poésie.

Jacqueline Fromin pour les Poètes de la Cité.

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