
« Paradoxa »
La foule, cette masse indistincte dont chacun fait partie, ce monstre aveugle et sourd que l’on voudrait muet, que l’on parque ou contient comme autant de bétail…
La foule, cette masse indistincte dont chacun fait partie, ce monstre aveugle et sourd que l’on voudrait muet, que l’on parque ou contient comme autant de bétail…
Le Despote pensait. Donc il était. Le peuple, lui, n’était pas !
La légende disait qu’au début du monde, il y avait eu la lumière et le Verbe. Puis la caverne, la peur et le cri. Et le Despote était venu… avec le feu et les mots.
L’autre, mon alter ego, mon égal, cet autre moi, mon semblable…
Il n’y a que l’Amour, Du début à la fin, L’Amour qui grâce à nous, Triomphera de tout.
J’ai rêvé cette terre comme un nouvel Eden, Débarrassé des guerres, des misères et des haines,
Faire la fête, réunir sa famille et ses amis, c’est donc participer à une fête plus grande : celle de la vie ! car célébrer l’amour c’est célébrer la vie même !