
Au début était le verbe…
Une IA qui absorbe notre mémoire pour se nourrir et se développer, puis l’écrase pour en faire naître une autre, la sienne, dont nous serons exclus.
Une IA qui absorbe notre mémoire pour se nourrir et se développer, puis l’écrase pour en faire naître une autre, la sienne, dont nous serons exclus.
Quelle est donc cette femme que l’on vend en partage ? Qui donc est cette femme exposée sans ambages ?
Cette femme otage, cette femme chantage, cette femme sans tête et sans voix dont on voile ou dévoile selon l’idéologie, la religion, la morale ou le business, le visage ou le derrière !
Les mots sont des véhicules ou des ponts qui permettent de relier les gens entre eux.
Le bonheur est là, dans ces instants éphémères, ces petits miracles quotidiens : fragiles étincelles qui illuminent de leur éclat le gris du quotidien et éclaire de cette simple vérité le regard et le cœur de ceux qui savent les saisir… et les apprécier.
Verra-t-on refleurir, arrosés de leurs larmes, les fleurs et les sourires dans les champs dévastés ?
Je voudrais que ces mots, comme autant de ferments, ensemencent les cœurs et transcendent la haine, afin que nos enfants et leurs petits-enfants, comme nous avant eux puissent y vivre et aimer.