
« Paradoxa »
La foule, cette masse indistincte dont chacun fait partie, ce monstre aveugle et sourd que l’on voudrait muet, que l’on parque ou contient comme autant de bétail…
La foule, cette masse indistincte dont chacun fait partie, ce monstre aveugle et sourd que l’on voudrait muet, que l’on parque ou contient comme autant de bétail…
L’autre, mon alter ego, mon égal, cet autre moi, mon semblable…
Et puis la mer, infiniment,
La mer immuablement belle
Qui malgré le froid et le vent
Comme un aimant m’attire à elle.
Oui, je veux rendre hommage à toutes mes pareilles
Ces êtres dont les hommes ont amputé les ailes
Se réservant le ciel en les clouant au sol
Les empêchant, cruels, de prendre leur envol
Il n’y a que l’Amour, Du début à la fin, L’Amour qui grâce à nous, Triomphera de tout.