
La haine ou la bête qui est en nous…
Une bête invisible autant qu’imprévisible qui se nourrit du mal que s’infligent les hommes. Malheur à l’imprudent qui deviendra sa proie, assailli dans l’instant par ses milliers de griffes…
Une bête invisible autant qu’imprévisible qui se nourrit du mal que s’infligent les hommes. Malheur à l’imprudent qui deviendra sa proie, assailli dans l’instant par ses milliers de griffes…
Chantage et calomnie, lynchage médiatique,
Fake news et propagande, tout est bon pour détruire,
Massacrer son semblable, le pousser au suicide,
En toute impunité, d’un seul clic anonyme.
Ils ne sont pas pressés les vacanciers de mai Pour eux les jeux sont faits l’avenir dévoilé Ils laissent derrière eux les joies de la jeunesse…
La nature bourdonne, la nature bourgeonne, tout entière s’éveille après son grand sommeil, effaçant sous les feuilles la grisaille et le deuil
Mythique morchella à la tête conique qui se fond mimétique dans les bois du Jura…
Tout semble comme avant,
Mais tout est différent,
S’est enfuie l’insouciance
Du cœur des relations,
Émoussée l’indulgence
Devant les injonctions ;