
Ma poésie entre à l’école…
Couverts du superflu nous avons oublié que ce qui compte le plus ne peut pas s’acheter. Les choses essentielles ne sont pas matérielles aucun supermarché ne vend cette denrée. »
Couverts du superflu nous avons oublié que ce qui compte le plus ne peut pas s’acheter. Les choses essentielles ne sont pas matérielles aucun supermarché ne vend cette denrée. »
« La vaudoise d’adoption Catherine Gaillard-Sarron fait des ruines médiévales, « endroit romantique à souhait » avec leur tour « qui offrait un spectacle fantastique », le lieu crucial où se noue son intrigue. Le charpentier Elias Baud y surprend son épouse Léane en pleins ébats avec le peintre Lenny Marnet qui l’a fait poser nue pour la magnifier en un remake local de la « Petite sirène de Copenhague, la statue inspirée du conte d’Andersen. » Jean Rime
Même si l’autoédition reste entachée d’une image négative, je la préfère à ce tourisme littéraire incessant qui certes fait tourner la grande roue de l’Édition, mais n’apporte le plus souvent pour seule contrepartie à l’auteur que le logo d’une « maison » sur son livre
Mathilde comprit qu’il était trop tard. Les choses étaient là et l’envahissaient.
Les visions étaient revenues. Elles étaient revenues… et avec elles, l’angoisse et la terreur.
Comment ce qui nous compose entre-t-il en résonance avec le cosmos ? Quelles ressources trouver dans l’existence elle-même ? Les cinq artistes de la compagnie « Cœur en bouche » vous proposent quelques réponses sous forme de textes poétiques du 12e au 21e siècle, de musiques originales et danses.
Musc’art du 7 avril organisé par Angela Mamier avec la poétesse et écrivaine franco-suisse Catherine Gaillard-Sarron.