
Réminiscences estivales
Fidèlement sur ces rivages
Encore empreints de ma présence,
Je reviens en pèlerinage
Humer le parfum de l’enfance…
Fidèlement sur ces rivages
Encore empreints de ma présence,
Je reviens en pèlerinage
Humer le parfum de l’enfance…
Couverts du superflu nous avons oublié que ce qui compte le plus ne peut pas s’acheter. Les choses essentielles ne sont pas matérielles aucun supermarché ne vend cette denrée.”
Votre corps est là, cuirasse qui vous protège du monde et des autres mais, comme une étoile effondrée sur elle-même, vous n’êtes plus qu’un trou noir où disparaissent la joie et la lumière.
Quand le cœur est si vide qu’il peut à peine battre
Et le corps si malade qu’il en devient un poids
Quand tout paraît si noir que la mort semble douce
Quand l’unique horizon a pour nom dépression
Je suis entrée dans le silence
Comme on entre dans une église
Avec l’envie de me défaire
De mes craquements intérieurs…