
La prière d’une mère
Qu’espérer quand la guerre
Qui sème la misère
Aujourd’hui comme hier
Rend les hommes si fiers ?
Qu’espérer quand la guerre
Qui sème la misère
Aujourd’hui comme hier
Rend les hommes si fiers ?
Fidèlement sur ces rivages
Encore empreints de ma présence,
Je reviens en pèlerinage
Humer le parfum de l’enfance…
Couverts du superflu nous avons oublié que ce qui compte le plus ne peut pas s’acheter. Les choses essentielles ne sont pas matérielles aucun supermarché ne vend cette denrée. »
Votre corps est là, cuirasse qui vous protège du monde et des autres mais, comme une étoile effondrée sur elle-même, vous n’êtes plus qu’un trou noir où disparaissent la joie et la lumière.
Quand le cœur est si vide qu’il peut à peine battre
Et le corps si malade qu’il en devient un poids
Quand tout paraît si noir que la mort semble douce
Quand l’unique horizon a pour nom dépression