
Mon ami P…
Il est plutôt carré, mais si rassurant. Tout en lui est force, puissance, rapidité. J’aime son élégance, sa sobriété, son côté pratique et spontané. Avec lui pas de problème, il a toutes les solutions. Lire plus …
Littérature et Poésie
Il est plutôt carré, mais si rassurant. Tout en lui est force, puissance, rapidité. J’aime son élégance, sa sobriété, son côté pratique et spontané. Avec lui pas de problème, il a toutes les solutions. Lire plus …
Sentir sur soi le poids de l’étoffe des ans
Comme un manteau trop lourd à la fin de l’hiver,
La sentir s’incruster lentement dans la chair
Y creuser des sillons comme on laboure un champ.
Mythique morchella à la tête conique
Qui se fond mimétique dans les bois du Jura
Entraînant derrière elle le temps d’une saison
Les inconditionnels de ce beau champignon
Novembre 2001. Agnès Denver traverse la route et se fait faucher par une voiture qui disparaît dans la nuit. Accident de la circulation avec délit de fuite ou acte prémédité ?
Sur la base d’un unique témoignage, le commissaire Henry Baud, grand amateur de puzzles, mène l’enquête.
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Ulrich, chimiste à la retraite, misanthrope, célibataire et passionné par la culture des roses ; Denise, maritorne vaniteuse qui écume les concours de beauté pour chats avec Arthur, son angora ! Félix, mari soumis qui se plie à toutes les exigences de Denise, son abominable épouse ! Il n’en faut pas plus pour déclencher les hostilités et faire planer un parfum de discorde sur le quartier de La Concorde…
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Taches ensanglantées en plein cœur d’un ciel de cristal, les fruits rouges d’un sorbier jauni, perles de sang enchâssées dans l’azur, rappellent que l’automne est une agonie, que cette agonie est beauté et que l’agonie de la beauté est souffrance. Lire plus …
Autour de lui la foule hurlait et vociférait. Daniel sentit ses tripes se nouer et la terreur l’infiltrer peu à peu. Il avait beau être courageux et savoir ce qui l’attendait, lui et les autres, la vue de ces milliers de gens qui éructaient leur haine et les insultaient grossièrement le paralysa. Lire plus …
Après quarante ans passés à votre service, à vous tirer, à vous traîner, par tous les temps, par monts et par vaux, je vous avoue que je n’en puis plus.