
Le ballet de la vie
Une danse où mon pas, pourtant insignifiant,
Concourt à l’harmonie de ce tableau parfait…
Une danse où mon pas, pourtant insignifiant,
Concourt à l’harmonie de ce tableau parfait…
Une ramille sensible au cœur de l’Univers,
Qui le temps d’une vie,
Fugace et incroyable,
S’émerveille du monde
Et s’inquiète pour lui…
On la conserve en pot au fond de nos armoires, petite madeleine au cœur de nos mémoires…
Ainsi tel un enfant tyran
Qui martyrise ses parents,
L’IA pourrait nous échapper
Et asservir la terre entière…
Monstre né du cerveau d’un homme,
Le sien est la somme des nôtres,
Phagocytant notre pensée
Pour pouvoir mieux la pervertir.
Dans ce monde où les nouvelles limites sont celles de l’imagination,
Où les frontières physiques et biologiques n’existent plus,
Où les seules lois sont celles du marché et du fric,
Où les croyances et l’espérance auront disparu,
Que deviendront les hommes ?